Après la fin de l'histoire
Un Regard Sur Les Revoltes Du Vingtieme Siecle
Stanko Cerovic
Climats
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Papier - Climats 18,00
Le 28 juin 1914, à Sarajevo, l'archiduc François-Joseph, héritier de l'empire
austro-hongrois, est assassiné. Cet évènement est le coup d'envoi du XXe
siècle et de ses horreurs, et est aussi à l'origine de la création de la
Yougoslavie. Et c'est avec la disparition de cette dernière, quatre-vingts ans
plus tard, que se termine ce même siècle. Stanko Cerovic raconte la vie et la
mort de son pays, si emblématique de ce temps de ténèbres, les passions et
désillusions politiques, la participation de sa famille, celle de Milovan
Djilas, le meilleur ennemi de Tito, aux grands événements qui façonnèrent
l'Est du continent. Où est la source de la révolte dans l'homme ? Obsédé par
cette question, l'auteur revient sur les rebellions du siècle - le communisme,
l'anticommunisme, la dissidence, leur échec, et leur sens, si elles en ont un.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois
même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes.
Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet
itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de
Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko
Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour
retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie. Il nous offre avec
cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit
épique, politique et intimiste à la fois.
austro-hongrois, est assassiné. Cet évènement est le coup d'envoi du XXe
siècle et de ses horreurs, et est aussi à l'origine de la création de la
Yougoslavie. Et c'est avec la disparition de cette dernière, quatre-vingts ans
plus tard, que se termine ce même siècle. Stanko Cerovic raconte la vie et la
mort de son pays, si emblématique de ce temps de ténèbres, les passions et
désillusions politiques, la participation de sa famille, celle de Milovan
Djilas, le meilleur ennemi de Tito, aux grands événements qui façonnèrent
l'Est du continent. Où est la source de la révolte dans l'homme ? Obsédé par
cette question, l'auteur revient sur les rebellions du siècle - le communisme,
l'anticommunisme, la dissidence, leur échec, et leur sens, si elles en ont un.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois
même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes.
Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet
itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de
Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko
Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour
retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie. Il nous offre avec
cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit
épique, politique et intimiste à la fois.
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