- EAN13
- 9782226211811
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 21/05/2013
- Langue
- français
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 55,50
Lorsqu'en 1897 Narendra, plus tard Swâmi Vivékânanda, commença d'organiser ce
qui devint plus tard la Mission Râmakrishna et l'Ordre monastique de
Râmakrishna, il en confia immédiatement la direction à son camarade Râkhâl,
plus tard Swâmi Brahmânanda. Râkhâl, alors âgé de 34 ans, avait été considéré
par Shrî Râmakrishna comme son fils spirituel ; enfant, il s'asseyait sur ses
genoux et même partageait parfois son lit. Après la mort du Maître, il avait
consacré six années à de sévères austérités et à de longs pèlerinages.
Comme Abbé de l'Ordre de Râmakrishna, jusqu'à sa mort en 1922, il exerça une
influence considérable sur tous les autres moines et sur tous les novices.
C'est son enseignement qui est rapporté dans Discipline monastique. Swâmi
Yatîswarânanda, un des disciples favoris de Swâmi Brahmânanda, était
certainement le mieux qualifié pour commenter cet enseignement à notre
intention ; c'est ce qu'il fit en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et en
Suisse de 1933 à 1938.
Tous ces textes donnent la meilleure idée que l'on puisse avoir de la
discipline hindoue sous son aspect le plus strict, telle qu'elle peut être
comprise et appliquée par des Occidentaux.
qui devint plus tard la Mission Râmakrishna et l'Ordre monastique de
Râmakrishna, il en confia immédiatement la direction à son camarade Râkhâl,
plus tard Swâmi Brahmânanda. Râkhâl, alors âgé de 34 ans, avait été considéré
par Shrî Râmakrishna comme son fils spirituel ; enfant, il s'asseyait sur ses
genoux et même partageait parfois son lit. Après la mort du Maître, il avait
consacré six années à de sévères austérités et à de longs pèlerinages.
Comme Abbé de l'Ordre de Râmakrishna, jusqu'à sa mort en 1922, il exerça une
influence considérable sur tous les autres moines et sur tous les novices.
C'est son enseignement qui est rapporté dans Discipline monastique. Swâmi
Yatîswarânanda, un des disciples favoris de Swâmi Brahmânanda, était
certainement le mieux qualifié pour commenter cet enseignement à notre
intention ; c'est ce qu'il fit en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et en
Suisse de 1933 à 1938.
Tous ces textes donnent la meilleure idée que l'on puisse avoir de la
discipline hindoue sous son aspect le plus strict, telle qu'elle peut être
comprise et appliquée par des Occidentaux.
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