- EAN13
- 9782874661532
- ISBN
- 978-2-87466-153-2
- Éditeur
- Jourdan
- Date de publication
- 08/11/2010
- Collection
- JOURDAN (EDITIO
- Nombre de pages
- 253
- Dimensions
- 24,1 x 17,2 x 1,5 cm
- Poids
- 726 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 940
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie Arobase Livres
- État de l'exemplaire
- Très Bon Etat
- Format
- in8. 2010. Broché. 320 pages.
20.00 (Occasion)
Un livre passionnant sur la Première Guerre mondiale, illustré de photographies inédites, qui se lit comme un roman à l’humour caustique mais qui aligne les vérités sur les erreurs et les contre-vérités.
Dans la foule de livres consacrés au conflit, très peu mentionnent que Joffre, l’homme aux nerfs d’acier, un brillant général et un des plus jeunes de France, n’était qu’un troisième choix après que le général Michel eut été acculé à la démission. Ce polytechnicien surdoué avait passé toute sa carrière dans les colonies à construire des chemins de fer et des fortifications, et la stratégie n’était pas son domaine de prédilection. Aussi, son calme légendaire ressemble fort à l’hébétude de l’homme qui voit le ciel qui lui tombe sur la tête.
On ne fait jamais état du fait que l’Etat Major Français possédait le plan d’invasion allemand, le plan Von Schlieffen, depuis plusieurs années.
Il est aussi communément admis que ce qui fit tenir les combattants, c’était principalement l’amour de la Patrie. A la fin du conflit, pourtant les deux seuls régiments admis à porter les deux fourragères récompensant les exploits les plus admirables, furent le Premier Régiment de Marche de… la Légion Etrangère, et le Régiment d’Infanterie… Coloniale
Marocaine. De la même manière que les textes sont originaux et novateurs dans ce qu’ils montrent, le livre sera aussi illustré de plusieurs centaines de documents photographiques totalement inédits. Œuvre d’un photographe des armées qu’un de ses petits-fils vient d’exhumer.
Dans la foule de livres consacrés au conflit, très peu mentionnent que Joffre, l’homme aux nerfs d’acier, un brillant général et un des plus jeunes de France, n’était qu’un troisième choix après que le général Michel eut été acculé à la démission. Ce polytechnicien surdoué avait passé toute sa carrière dans les colonies à construire des chemins de fer et des fortifications, et la stratégie n’était pas son domaine de prédilection. Aussi, son calme légendaire ressemble fort à l’hébétude de l’homme qui voit le ciel qui lui tombe sur la tête.
On ne fait jamais état du fait que l’Etat Major Français possédait le plan d’invasion allemand, le plan Von Schlieffen, depuis plusieurs années.
Il est aussi communément admis que ce qui fit tenir les combattants, c’était principalement l’amour de la Patrie. A la fin du conflit, pourtant les deux seuls régiments admis à porter les deux fourragères récompensant les exploits les plus admirables, furent le Premier Régiment de Marche de… la Légion Etrangère, et le Régiment d’Infanterie… Coloniale
Marocaine. De la même manière que les textes sont originaux et novateurs dans ce qu’ils montrent, le livre sera aussi illustré de plusieurs centaines de documents photographiques totalement inédits. Œuvre d’un photographe des armées qu’un de ses petits-fils vient d’exhumer.
S'identifier pour envoyer des commentaires.