- EAN13
- 9782259216609
- ISBN
- 978-2-259-21660-9
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 03/2012
- Collection
- Tribune libre
- Nombre de pages
- 196
- Dimensions
- 20,2 x 13,2 x 2,1 cm
- Poids
- 237 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 302.23094409051
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- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - Tribune libre - 2012 - 9782259216609 - Grand Format
3.99 (Occasion)
Si nous ne comprenons pas que le dit doit être la règle et le non-dit l'exception, la presse disparaîtra, car l'information se fera ailleurs.
" L'affaire DSK " est le chant du cygne d'une certaine presse de connivence. L'arrestation du directeur général du FMI, le 15 mai 2011, accusé de tentative de viol, a rompu la loi du silence et fait voler en éclats l'un des plus solides tabous de la sphère médiatique hexagonale : la vie privée des politiques. Parfois complices, voire amis de nos dirigeants, les journalistes français savent se montrer généralement avares de révélations, et cette " amitié " prime trop souvent sur le devoir d'informer. Tous les politiques bénéficient de cette loi du silence, de François Mitterrand à Nicolas Sarkozy en passant par Jacques Chirac et François Hollande. Jean Quatremer est l'un des très rares journalistes à avoir osé briser l'omerta en évoquant sur son blog, dès 2007, le problématique " rapport aux femmes " de Dominique Strauss-Kahn – ce qui lui a valu de vives critiques de la profession. Si nos médias classiques veulent survivre, le dit doit être la règle et le non-dit l'exception.
" L'affaire DSK " est le chant du cygne d'une certaine presse de connivence. L'arrestation du directeur général du FMI, le 15 mai 2011, accusé de tentative de viol, a rompu la loi du silence et fait voler en éclats l'un des plus solides tabous de la sphère médiatique hexagonale : la vie privée des politiques. Parfois complices, voire amis de nos dirigeants, les journalistes français savent se montrer généralement avares de révélations, et cette " amitié " prime trop souvent sur le devoir d'informer. Tous les politiques bénéficient de cette loi du silence, de François Mitterrand à Nicolas Sarkozy en passant par Jacques Chirac et François Hollande. Jean Quatremer est l'un des très rares journalistes à avoir osé briser l'omerta en évoquant sur son blog, dès 2007, le problématique " rapport aux femmes " de Dominique Strauss-Kahn – ce qui lui a valu de vives critiques de la profession. Si nos médias classiques veulent survivre, le dit doit être la règle et le non-dit l'exception.
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