- EAN13
- 9782842059262
- ISBN
- 978-2-84205-926-2
- Éditeur
- Mille et une nuits
- Date de publication
- 24/08/2005
- Collection
- Les petits libres
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 15 cm
- Poids
- 98 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 363.192
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - Les petits libres - 2005 - 9782842059262 - Poche
1.80 (Occasion)
Il y a OGM et OGM. La question posée n'est pas celle de la
transgénèse en général, mais celle des risques que fait
courir l'utilisation des plantes transgéniques dans l'agriculture
et l'alimentation : risques sur la santé, que même la
recherche publique ne semble guère pressée de mesurer ;
risques de dissémination dans l'environnement que,
unanimes, les assureurs refusent de couvrir. Après un tel
verdict du « marché », la cause devrait être entendue.
Pour les ministres et commissaires européens, il n'en
est rien. Aussi bien à Paris qu'à Bruxelles, et sous la pression
des lobbies, on se refuse à prendre le temps des
évaluations scientifiques indépendantes. Le profit d'abord,
et tout de suite, par la mise sous tutelle des agriculteurs.
À la guerre que les OGM déclarent à la société - qui les
refuse massivement -, celle-ci, du simple citoyen aux
collectivités, doit répondre de multiples manières. En premier
lieu en utilisant l'arme du droit.
transgénèse en général, mais celle des risques que fait
courir l'utilisation des plantes transgéniques dans l'agriculture
et l'alimentation : risques sur la santé, que même la
recherche publique ne semble guère pressée de mesurer ;
risques de dissémination dans l'environnement que,
unanimes, les assureurs refusent de couvrir. Après un tel
verdict du « marché », la cause devrait être entendue.
Pour les ministres et commissaires européens, il n'en
est rien. Aussi bien à Paris qu'à Bruxelles, et sous la pression
des lobbies, on se refuse à prendre le temps des
évaluations scientifiques indépendantes. Le profit d'abord,
et tout de suite, par la mise sous tutelle des agriculteurs.
À la guerre que les OGM déclarent à la société - qui les
refuse massivement -, celle-ci, du simple citoyen aux
collectivités, doit répondre de multiples manières. En premier
lieu en utilisant l'arme du droit.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
L'Imposture Macron, Un business model au service des puissantsFondation Copernic, ATTACÉditions Les Liens qui libèrent1,91