Eugénie, la derniére Impératrice, la dernière impératrice ou les larmes de la gloire
EAN13
9782262007072
ISBN
978-2-262-00707-2
Éditeur
Perrin
Date de publication
Collection
CODE SERIEL ADP
Nombre de pages
624
Dimensions
24,1 x 15,5 x 4,3 cm
Poids
780 g
Langue
français
Code dewey
944.07

Eugénie, la derniére Impératrice

la dernière impératrice ou les larmes de la gloire

De

Perrin

Code Seriel Adp

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Un éclairage nuancé sur la dernière souveraine des Français, à partir d'archives familales jamais exploitées jusqu'ici.
Le 11 juillet 1920, à 94 ans, disparaissait l'impératrice Eugénie, dernière souveraine des Français, à la fin d'une vie qui ne l'avait pas épargnée. Elle fut accusée d'avoir provoqué le désastre de 1870, taxée de frivolité à l'instar de Marie-Antoinette, soupçonnée de frigidité, si bien que Napoléon III dut chercher satisfaction ailleurs. En réalité, la vraie eugénie est une personnalité plus complexe et contrastée. Née en 1826 à Grenade d'un père ouvertement acquis aux idées napoléoniennes, elle a, petite fille, sauté sur les genoux de Stendhal et écouté les fascinantes histoires de Mérimée. Sportive et fière, elle enflamme, presque par hasard, le séducteur Napoléon III. Brillant symbole du Second Empire, Eugénie ne se contente pas de préserver les apparences face aux liaisons tapageuses de l'Empereur. Nommée régente après la naissance de son fils, en 1856, elle s'initie à la politique. La chute du Second Empire et l'exil en Angleterre marquent le début d'une existence modeste, mais non sans grandeur. Après la mort de Napoléon III, en 1873, Eugénie reporte son amour et ses espoirs sur le Prince impérial, qui meurt en 1879, transpercé par les sagaies des Zoulous. Alors commence une longue expiation. Pendant quarante années, Eugénie, veuve respectée et mère accablée, parcourt l'Europe dans une inépuisable nostalgie. Dans ce livre où Jean des Cars apporte de nombreuses révélations, Eugénie est aussi l'impératrice d'une infinie générosité, la pionnière du féminisme, la complice de l'unité italienne, la lectrice favorable à Flaubert, la passionnée de spiritisme, l'épouse heureuse à Biarritz, la femme éclairée qui encourage Pasteur. Voici le portrait vivant d'une grande dame, parfois maladroite mais toujours digne et d'un courage unanimement reconnu.
prix de la Fondation Napoléon pour le Second Empire 2001
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