- EAN13
- 9782207236123
- ISBN
- 978-2-207-23612-3
- Éditeur
- Denoël
- Date de publication
- 28/08/1989
- Collection
- Romans français
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 21 x 14 x 1,5 cm
- Poids
- 258 g
- Langue
- français
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Denoel GF - 1989 - 9782207236123 - Grand Format
6.38 (Occasion)
Henri est libraire à Paris, ruc Dauphine. Il vit «sur le fil» entre le monde réel : sa famille et le monde des livres. Il va hésitant de l'un à l'autre,
malhabile et tremblant. Sarah, une très jeune femme à la silhouette mince et presque transparente, venue à la librairie se reposer après un malaise, déséquilibrera-t-elle la vie de Henri ? Craint-il d'éprouver une émotion qui dure ou lui faut-il un certain temps pour qu'un tel sentiment laisse des traces dans sa mémoire ? Peu armé pour affronter ce personnage étrange et imprévisible qui pratique l'art du mensonge avec talent jusqu'à en théoriser son usage. Henri choisira le versant de sa chute, celui de l'émotion inventée, où l'imaginaire triomphe. Sarah, elle, aura la crainte de ne laisser que blanc dans la mémoire de Henri, lui à qui elle écrit un jour, en passant par hasard dans une ville, tu me photographieras». Un texte dense où le dire et l'écrit sont au centre des préoccupations de Marie Pascale Lauret, un vrai roman aussi avec des personnages secondaires riches et profonds, un sujet fort où les «mots fantômes» viendront hanter la mémoire des deux protagonistes.
malhabile et tremblant. Sarah, une très jeune femme à la silhouette mince et presque transparente, venue à la librairie se reposer après un malaise, déséquilibrera-t-elle la vie de Henri ? Craint-il d'éprouver une émotion qui dure ou lui faut-il un certain temps pour qu'un tel sentiment laisse des traces dans sa mémoire ? Peu armé pour affronter ce personnage étrange et imprévisible qui pratique l'art du mensonge avec talent jusqu'à en théoriser son usage. Henri choisira le versant de sa chute, celui de l'émotion inventée, où l'imaginaire triomphe. Sarah, elle, aura la crainte de ne laisser que blanc dans la mémoire de Henri, lui à qui elle écrit un jour, en passant par hasard dans une ville, tu me photographieras». Un texte dense où le dire et l'écrit sont au centre des préoccupations de Marie Pascale Lauret, un vrai roman aussi avec des personnages secondaires riches et profonds, un sujet fort où les «mots fantômes» viendront hanter la mémoire des deux protagonistes.
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