- EAN13
- 9782070263424
- ISBN
- 978-2-07-026342-4
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 25/10/1983
- Collection
- Hors série Beaux Livres
- Séries
- Le Trésor des contes ([5])
- Nombre de pages
- 544
- Dimensions
- 25 x 18,5 x 5,7 cm
- Poids
- 1570 g
- Langue
- français
[5] - Le trésor des contes- Les fées- Sommaire : le secret de la fougère - l'enfant supposé - les années du berger - le pleureur - le lion de pierre - la lavandière - la dame ogresse - la bourse - l'aune de boudin - le pauvre malades et la tête de chèvre - la b
De Henri Pourrat
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Gallimard
Hors série Beaux Livres
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO30325986: 1983. In-4. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 540 pages. Jaquette passable. Signet conservé. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans et hors texte et quelques une en couleurs, hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 398.2-Conte populaire
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-4
- Reliure
- Relié toilé
205.00 (Occasion)
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singulier. S'y reflète assez curieusement la part obscure et secrète de la mémoire. Les fades - les fées - n'y figurent pas sous un aspect merveilleux mais plutôt comme les dernières personnes connues d'une très vieille famille rustique, un peu étrange, errante, vivant de baies et de racines. L'ogre et la dame ogresse sont friands de chair humaine ainsi que la dévorante. Tandis qu'entrent dans la ronde les
enfants perdus, le Poucet, les enfants de la mer, Jean-Loup, la fille sauvage. À des aspects d'une vie agreste assez folle se mêlent les façons d'expliquer le temps, les plantes, le seigle et le froment, ainsi que les premières dévotions à saint Pierre, saint Christophe.
singulier. S'y reflète assez curieusement la part obscure et secrète de la mémoire. Les fades - les fées - n'y figurent pas sous un aspect merveilleux mais plutôt comme les dernières personnes connues d'une très vieille famille rustique, un peu étrange, errante, vivant de baies et de racines. L'ogre et la dame ogresse sont friands de chair humaine ainsi que la dévorante. Tandis qu'entrent dans la ronde les
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