- EAN13
- 9782262010546
- ISBN
- 978-2-262-01054-6
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 24/01/1995
- Séries
- Abbeville 1940.
- Nombre de pages
- 306
- Dimensions
- 23 x 14 x 2,6 cm
- Poids
- 422 g
- Langue
- français
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO80216512: 1995. In-8. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni. 306 pages augmentées de quelques planches en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
30.90 (Occasion)
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La reconstitution minutieuse de la seule grande offensive alliée de 1940 qui vit Français et Anglais tenter de reprendre aux Allemands la tête de pont d'Abbeville. Une bataille importante et méconnue.
Pression des propagandes, nécessités politiques, crouyances populaires, les causes de l'effondrement de 1940 ont été longtemps occultées. La France s'est-elle vraiment laissée aller à la défaite sans réagir, comme on l'a dit, comme on l'enseigne ? Au terme de ses précédents ouvrages, et notamment De Gaulle sous le casque, Henri de Wailly avait souligné l'importance de l'offensive alliée d'Abbeville qui ne fut pas, comme on l'a cru, un effort local mais, avec 500 chars modernes, la seule grande offensive alliée de 1940. Cet effort considérable impliquait au sommet Weygand, Georges, Delestraint, le Britannique Fortune, l'Allemand Manstein, mais aussi les colonels de Gaulle et Perré, ardents concurrents et dont les carrières militaires furent étonnament parallèles. Qui aurait vouolu s'en souvenir ?
Ayant mené une minutieuse enquête à Paris, Londres, Munich, Coblence, ayant interrogé des centaines de témoins de tout bord, travaillé avec des officiers supérieurs allemands, britanniques et français, Henri de Wailly ne s'est pas tenu à notre unique point de vue : il a reconstitué une page d'histoire européenne. Cette bataille ne fut-elle pas la plus importante offensive de la Deuxième Guerre mondiale avant la Russie .
Au-delà des légendes et des polémiques, et sans concession anvers qui que ce fût, nous découvrons pourquoi nous avons échoué même quand nous disposions d'une supériorité matérielle totale. Précision, lucidité, puissance d'évocation, l'étude de la seule offensive alliée de 1940 réserve plus d'une surprise. Et, comme l'écrit Jacques Delarue dans sa préface, on ne peut lire cette histoire "sans un sentiment de honte et de colère mêlées", car le courage des combattants et la qualité de leur matériel ont été incroyablement gaspillés par les alliés eux-mêmes. Qui avait osé l'écrire ?
Des guerres du Moyen Age à 1940, henri de Wailly a consacré plusieurs ouvrages aux grands événements militaires qui ont fait basculer le sort de notre pays. De Gaulle sous le casque (Perrin) avait, notamment, confirmé ses qualités d'analyste, d'historien précis et lucide dans un domaine difficile, souvent abandonné aux polémistes.
Pression des propagandes, nécessités politiques, crouyances populaires, les causes de l'effondrement de 1940 ont été longtemps occultées. La France s'est-elle vraiment laissée aller à la défaite sans réagir, comme on l'a dit, comme on l'enseigne ? Au terme de ses précédents ouvrages, et notamment De Gaulle sous le casque, Henri de Wailly avait souligné l'importance de l'offensive alliée d'Abbeville qui ne fut pas, comme on l'a cru, un effort local mais, avec 500 chars modernes, la seule grande offensive alliée de 1940. Cet effort considérable impliquait au sommet Weygand, Georges, Delestraint, le Britannique Fortune, l'Allemand Manstein, mais aussi les colonels de Gaulle et Perré, ardents concurrents et dont les carrières militaires furent étonnament parallèles. Qui aurait vouolu s'en souvenir ?
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