Les Orphelins de la République. Destinées des députés et sénateurs français (1940-1945), destinées des députés et des sénateurs français, 1940-1945
EAN13
9782020340366
ISBN
978-2-02-034036-6
Éditeur
Seuil
Date de publication
Collection
L'Univers historique
Nombre de pages
464
Dimensions
20,5 x 14 x 2,9 cm
Poids
440 g
Langue
français
Langue d'origine
français
Code dewey
944.081

Les Orphelins de la République. Destinées des députés et sénateurs français (1940-1945)

destinées des députés et des sénateurs français, 1940-1945

De

Seuil

L'Univers historique

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    État de l'exemplaire
    Editions du Seuil "L'univers historique" 2001, in-8 broché, 464 p. (plis de lecture au dos, sinon très bon exemplaire) Bibliographie et index. Qu'est-il advenu des parlementaires qui votèrent ou refusèrent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain le 10 juillet 1940 ? Une enquête qui va à l'encontre des idées reçues, en montrant que tous les hommes du refus ne se sont pas engagés dans la Résistance, pas plus que tous les approbateurs du maréchal n'ont adhéré à la Révolution nationale...
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Au cours de la journée dramatique du 10 juillet 1940, députés et sénateurs, réunis au Grand Casino de Vichy, votent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Seulement quatre-vingts parlementaires les refusent. Qu'est devenu ce camp du refus ? Mais aussi que se sont devenus tous les autres qui, à une écrasante majorité, ont rendu possible l'institution vichyste ? Grâce à des sources inédites – et principalement les dossiers du Jury d'honneur devant lequel ont comparu une grande partie des parlementaires qui avaient voté oui en 1940 -, l'auteur retrace les itinéraires et montre, contre les idées reçues, que tous les approbateurs de Pétain en 1940 n'ont pas adhéré à la Révolution nationale, pas plus que tous les hommes du refus ne se sont engagés dans la Résistance.Les raisons d'agir sont souvent complexes, parfois ambivalentes. Véritable leçon de méthode historique, cet ouvrage tranche avec les approches manichéennes et une histographie abstraite, oublieuse des réalités composites, des contraintes existentielles et des motivations contradictoires. Il change en profondeur notre « vision » du 10 juillet 1940 et d'un personnel trop volontiers soupçonné de veulerie.
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