- EAN13
- 9782070115181
- ISBN
- 978-2-07-011518-1
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 11/1995
- Collection
- Livres d'Art
- Nombre de pages
- 248
- Dimensions
- 32,8 x 24,8 x 2,3 cm
- Poids
- 1895 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 757.093
Portraits du Fayoum
Visages de l'Égypte ancienne
De Euphrosyne Doxiadis
Traduit par Dennis Collins
Préface de Dorothy J. Thompson
Gallimard
Livres d'Art
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO30354078: 1995. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 247 pages. Jaquette correcte. Nombreuses reproductions en couleurs et en noir et blanc, in et hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 962-Egypte et Soudan
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-Folio
- Reliure
- Relié
305.00 (Occasion)
Les sables d'Égypte ont préservé un millier de portraits funéraires datant des premiers siècles de notre ère, trouvés pour la plupart, à partir de la fin du XIXᵉ siècle dans la vallée du Nil, sur des momies ensevelies dans les nécropoles du Fayoum qu'on appelle pour cette raison «Portraits du Fayoum». L'ouvrage montre environ deux cents de ces fascinantes peintures, qui s'inscrivent dans la tradition picturale grecque de l'école d'Alexandrie, mais qui s'intègrent à des momies égyptiennes. Après avoir expliqué quel était le contexte social et religieux qui vit naître ces portraits, et notamment l'étonnant mélange de cultures et de croyances caractéristique de l'Égypte gréco-romaine, l'auteur aborde d'un point de vue plus précisément artistique ces œuvres, les situant dans le courant pictural qui va d'Appelle aux icônes byzantines et décrivant les techniques que leurs créateurs durent mettre en œuvre, notamment la peinture à l'encaustique sur bois.L'auteur évoque ensuite l'histoire archéologique des différents sites où l'on a retrouvé des portraits : le Fayoum proprement dit, mais aussi les nécropoles de Memphis, de Philadelphie, d'Arsinoé et d'Antinooupolis.Enfin, chacune des œuvres reproduites fait l'objet d'un commentaire à la fois historique, technique et esthétique, Euphrosyne Doxiadis étant, par sa formation de peintre, bien placée pour montrer comment les portraits du Fayoum peuvent être rattachés aux icônes byzantines, dans une tradition qui va de la Grèce ancienne à la Renaissance et à nos jours.
Contient trois cartes
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