Les Fantômes de Reykjavik

Arnaldur Indridason

Anne-Marie Métailié

  • 4 novembre 2020

    Drôle de méthodes !

    Depuis L'Homme du lac, Prix du Polar européen Le Point en 2008, on ne lâche plus cet Islandais chaleureux, qui nous raconte des horreurs avec un grand sourire. Il faut croire que l’on n’est pas les seuls : ses livres ont été traduit en 40 langues et on en est au 22e en français.
    Et franchement… CE PETIT DERNIER EST UN BON CRU !
    Il nous permet – merci Arnaldur Indridasson de renouveler ainsi la palette de vos personnages – de découvrir le policier Konrad. Il était personnage secondaire dans la trilogie des Ombres, ce policier en retraite mais au flair toujours affuté. Le voilà premier rôle.
    Konrad, tout comme le lecteur, ne sait jamais vraiment ce qu’il cherche en creusant toujours davantage, obstinément, le même sillon, en reposant les mêmes questions aux mêmes personnes. Mais il va trouver !
    On ne vous en dit pas plus… mais sachez qu’il est ici question d’espoirs déçus et d’enfants que personne ne protège.