• Un très bon moment

    Le Chat ne s’arrête jamais ! Lorsqu’il est question de nous faire rire, il répond toujours présent. C’est le cas avec ce vingtième tome qui regroupe 3 albums. Chaque album a sa spécificité, mais celui que j’ai préféré, celui que j’ai dévoré sans pouvoir m’arrêter de sourire ou de rire c’est « Le Scrabble du dimanche ». Un album bien particulier, puisque qu’on n’y voit pas la moindre trace du Chat. On y suit plutôt son « paternel », Philippe Geluck. Il y raconte comment madame Geluck l’oblige à jouer au Scrabble, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne manque pas d’ingéniosité et d’imagination.

    Comme à son habitude, l’auteur nous offre des dessins efficaces qui abordent tout un tas de sujets. Certains gags ne m’ont pas particulièrement amusée, mais ils sont très minoritaires ! En effet, bien souvent, le Chat fait mouche.

    En conclusion, encore un volume réussi. Le Chat est fidèle à lui-même et s’évertue à nous faire rire. Petite mention spéciale pour l’album « Le Scrabble du dimanche » qui sort des sentiers battus et qui apporte un petit vent de nouveauté.


  • Conseillé par
    7 décembre 2015

    bande dessinée

    J’attendais avec impatience ce nouveau volume du Chat, gardant un bon souvenir du Chat passe à table. Quelle ne fut pas ma déception !

    Pas vraiment de fil conducteur, mis à part les histoires de Scrabble.

    Mais j’aurais au moins appris, par le journal à l’intérieur, qu’un musée du Chat se préparait à Bruxelles.

    Et en plus les enfants voulaient le lire, ce qui n’est pas un album pour eux.

    http://alexmotamots.wordpress.com/2015/12/02/le-chat-fait-des-petits-philippe-geluck


  • Conseillé par
    5 octobre 2015

    Le dessein du Chat est assez classique, un album du Chat avec les jeux de mots, les blagues parfois liées à l'actualité : islamisme, religion, les flics blancs états-uniens qui tuent des noirs... et parfois sans lien avec quoi que ce soit, juste le plaisir de lire une bonne case d'humour, car ce sont plutôt des dessins, les gags en trois cases sont réservés au mini-volume Prêchi-prêchat. Tous les thèmes sont abordés, Geluck ne se refuse rien : les handicapés, le sexe, la scatologie, la mort, la maladie, ... Dans Le scrabble du dimanche, il explique que Madame Geluck veut l'entraîner chaque jour du ouiquende dans des parties du célèbre jeu qu'elle est sûre de remporter, et lui d'inventer force stratagèmes ou excuses bidon pour tenter -tenter seulement- d'y échapper.

    Que dire de plus des albums de Geluck que je n'aurais pas déjà dit dans mes nombreuses recensions d'iceux ? Ça devient un exercice compliqué, si je veux me renouveler. Lui y arrive bien, mais je dois dire que je n'ai pas son talent de dessinateur, sinon, je me serais croqué vite fait à lire le nouveau Le Chat, un bon mot au-dessus, et hop le tour était joué : ouais, ouais, ça paraît simple en le disant, mais le problème c'est qu'il faut un savoir-faire et une imagination ou un cerveau de malade. Moi j'ai pas. Geluck a.

    Je prends toujours autant de plaisir à ouvrir et à découvrir les bandes dessinées de Geluck, Le Chat me suit depuis longtemps (cf. mes divers et nombreux articles à Auteur(e)s G-J) et comme je suis fidèle, et aussi parce que je ne me lasse pas de cet humour vache et décalé, je continue.