"On disait : l'ourle... À personne parmi nous l'idée ne serait venue de dire
l'eurée du bois, l'orle de la forest. L'ourle, c'était autre chose. La
sauvagerie, l'écart, la vieille méfiance des bêtes et des hommes. C'est pour
l'ourle que je suis revenu. Pour cette ultime lisière lorsque monte le soir
avec ses sortilèges et sa sombre magie. Le temps, un fil à l'endroit, un fil à
l'envers, y tisse sa toile. Et la mémoire s'embrouille à vouloir retenir, dans
ses rets, les ombres incertaines. C'est pour l'ourle que je suis revenu. Pour
le silence. Et pour l'oubli." Alain Galan.
l'eurée du bois, l'orle de la forest. L'ourle, c'était autre chose. La
sauvagerie, l'écart, la vieille méfiance des bêtes et des hommes. C'est pour
l'ourle que je suis revenu. Pour cette ultime lisière lorsque monte le soir
avec ses sortilèges et sa sombre magie. Le temps, un fil à l'endroit, un fil à
l'envers, y tisse sa toile. Et la mémoire s'embrouille à vouloir retenir, dans
ses rets, les ombres incertaines. C'est pour l'ourle que je suis revenu. Pour
le silence. Et pour l'oubli." Alain Galan.
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