ORPHELINS D'UN ENFANT
EAN13
9782204110440
Éditeur
Cerf
Date de publication
Collection
Epiphanie
Langue
français

Orphelins D'Un Enfant

Cerf

Epiphanie

Indisponible

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On dit « veuve » ou « veuf » lorsqu'on a perdu son conjoint, « orphelin »
lorsqu'on a perdu ses parents, mais il n'existe pas de mot pour désigner les
parents qui ont perdu un enfant. Cécile et Benoît sont donc « orphelins » de
leur fils, Vianney et Henry de leur frère de sang, les Dominicains de leur
frère en religion. Vincent avait trente ans lorsqu'il mourut : il venait de
faire « profession solennelle » dans l'ordre des Frères prêcheurs, les
Dominicains. Quand Cécile, sa mère, prit des notes dans un petit carnet qui
devint un journal relatant ce qu'elle vivait auprès de son fils, alors en
phase terminale d'un cancer du poumon, elle était loin de se douter que cela
aboutirait à l'écriture de ce livre. Sa route devint une véritable quête
spirituelle pour comprendre ce qui avait permis à son fils de passer si vite,
sans fléchir, « de la mort à la Vie ». Après de solides études, Vincent avait
fait le choix de la vie religieuse pour transmettre sa foi. Comment a-t-il
accepté sa mort sans révolte ? Comment sa mère, si passionnément engagée dans
sa maternité, peut-elle affirmer que, malgré tout, la vie est magnifique ? Se
voulant à la fois un témoignage et un réconfort pour ceux qui, comme elle et
Benoît, sont des mères et des pères sans nom, « Orphelins d'un enfant » tente
de répondre à ces questions.

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We say ‘widow’ or ‘widower’ when someone has lost their spouse ‘orphan’ when
children have lost their parents, but there is no word to describe parents who
have lost a child. So when Vincent died, Cécile and Benoît became the
‘orphans’ of their son Vianney and Henry of their biological brother, and the
Dominicans of their brother in religion. Vincent was thirty when he died, just
after making his solemn vows in the Dominican Order of Preachers. When his
mother, Cécile, began confiding her thoughts to a little notebook, which would
later become a diary in which she described how she dealt with her son who was
then dying from lung cancer, little did she think that one day they would
result in a book. Her path became a veritable spiritual quest to understand
what had enabled her son to pass so rapidly and inexorably ‘from death to
Life’. After a sound education, Vincent had chosen the religious life in order
to spread his Faith. How did he manage to meet death with such equanimity? How
was his mother, whose maternal feelings were so strong, able to state that
despite everything, life is wonderful? Aiming to serve both as a personal
account and a source of comfort to those who, like Cécile and Benoït, are
mothers and fathers who have lost a child, ‘Orphelins d'un enfant’ attempts to
answer these questions.
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