Le Ciel et l'Enfer, France libre (1940-1945)
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EAN13
9782258122550
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Presses de la cité)
Date de publication
Collection
Coup d'œil
Langue
français
Langue d'origine
français

Le Ciel et l'Enfer

France libre (1940-1945)

FeniXX réédition numérique (Presses de la cité)

Coup d'œil

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Jacques Andrieux est né le 15 août 1917, dans une ville de Bretagne. Son père,
le médecin-commandant de réserve Jacques Andrieux, à qui est pieusement dédié
ce livre, est alors chirurgien au front. Homme de qualité exceptionnelle, dont
la personnalité va marquer profondément le futur pilote de chasse, le docteur
Andrieux, résistant de la première heure, sera arrêté par les Allemands en
1942 et mourra en déportation sans avoir revu son fils. Jacques Andrieux
deviendra-t-il un médecin comme le veut son père ? L’aventure prend
l’adolescent à la gorge... Ses modèles : Guynemer et Fonck, des chasseurs...
Puis des héros comme Lindbergh, Costes, Bellonte, Nungesser et Coli. Le garçon
n’hésitera pas, avec l’appui de tous ceux qui l’aiment, à affronter la
redoutable volonté paternelle : « Je veux être pilote... » Il le sera... La
défaite de 1940 le remplit de honte et d’amertume. Il quitte la Bretagne le 16
décembre de cette même année, évasion extraordinaire... Il se présente au
général de Gaulle, entre dans la R.A.F. Problème capital : pour être pilote et
pour se battre, il faut connaître la langue anglaise. Et ce Breton, écolier
indocile dans un passé récent, devient un fervent élève, prenant l’anglais à
haute dose. A vingt-trois ans, Jacques Andrieux est membre à part entière de
la R.A.F. et prend sa place au combat... Comme tous les pilotes, aimant leur
tâche de pilote, Jacques Andrieux a tenu scrupuleusement à jour ses carnets de
vol... Ce livre est la traduction exacte des phrases brèves qui ont été
écrites au fil des jours... Jusqu’au 9 mai 1945, jusqu’au moment du « cessez-
le-feu », Jacques Andrieux, connu dans la Chasse française et anglaise sous le
prénom de « Jaco », ne mollira pas un seul instant. Ces heures chaudes, ces
peines, ces souffrances, ces pages exemplaires, où la mort tient tant de
place, il était nécessaire qu’elles fussent connues.
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