- EAN13
- 9782262069278
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 15/09/2016
- Collection
- Perrin - Sans Collection
- Langue
- français
Une manière originale d'aborder l'histoire de l'Empire romain.
Il est d'usage de prétendre que l'approche de la mort reflète toute une vie.
Les empereurs romains, dont les derniers jours sont racontés dans cet ouvrage,
n'échappent pas à cette constatation. Ils sont soixante-dix depuis César en 44
av. J.-C. ‒ il n'en a pas la dignité, mais il laisse son nom et sa renommée à
tous ses successeurs ‒ jusqu'à Romulus Augustule en 476 ap. J.-C. Assassinats,
maladies, lentes agonies, suicides, ou parfois même fins glorieuses face à
l'ennemi, rythment les derniers souffles de ceux qui régnèrent pendant un
demi-millénaire sur l'ensemble du monde connu. Pour chacun de ces empereurs,
c'est le bilan de leurs vies et de leurs règnes, qu'au milieu de leurs
fièvres, de leurs cauchemars et de leurs rêves, de leurs souffrances, de leurs
peurs, de leurs remords et de leurs colères, ils tentent d'évaluer.
L'auteur, au plus près de la documentation, leur a souvent donné la parole
tout en cherchant à comprendre ce qu'ont pu être leurs ultimes pensées. Leurs
morts éclairent leurs vies. Elles humanisent en quelque sorte l'Empire romain,
dont ils ont été les maîtres absolus. Soudain dépouillés de tout, ils peuvent
être enfin vus dans leur vérité la plus nue.
Il est d'usage de prétendre que l'approche de la mort reflète toute une vie.
Les empereurs romains, dont les derniers jours sont racontés dans cet ouvrage,
n'échappent pas à cette constatation. Ils sont soixante-dix depuis César en 44
av. J.-C. ‒ il n'en a pas la dignité, mais il laisse son nom et sa renommée à
tous ses successeurs ‒ jusqu'à Romulus Augustule en 476 ap. J.-C. Assassinats,
maladies, lentes agonies, suicides, ou parfois même fins glorieuses face à
l'ennemi, rythment les derniers souffles de ceux qui régnèrent pendant un
demi-millénaire sur l'ensemble du monde connu. Pour chacun de ces empereurs,
c'est le bilan de leurs vies et de leurs règnes, qu'au milieu de leurs
fièvres, de leurs cauchemars et de leurs rêves, de leurs souffrances, de leurs
peurs, de leurs remords et de leurs colères, ils tentent d'évaluer.
L'auteur, au plus près de la documentation, leur a souvent donné la parole
tout en cherchant à comprendre ce qu'ont pu être leurs ultimes pensées. Leurs
morts éclairent leurs vies. Elles humanisent en quelque sorte l'Empire romain,
dont ils ont été les maîtres absolus. Soudain dépouillés de tout, ils peuvent
être enfin vus dans leur vérité la plus nue.
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