Histoire passionnée de la frite, Histoire originale et décalée
EAN13
9782390093091
Éditeur
Jourdan
Date de publication
Langue
français

Histoire passionnée de la frite

Histoire originale et décalée

Jourdan

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Une promenade gourmande autour de la frite.

De la pomme de terre et de sa découverte par les conquistadors à la « friterie
» telle qu’on la connaît aujourd’hui, découvrez l’Histoire de la frite,
bientôt classée au patrimoine immatériel de l’UNESCO. Saviez-vous que...
... la pomme de terre a longtemps été interdite par l’Église, car elle était
considérée comme une « plante diabolique » ?
... la guerre de Crimée a joué un rôle important dans la démocratisation du
paquet de frites dans les fêtes foraines ?
... le premier témoignage mentionnant la frite date de 1760 ?
... sainte Thérèse d’Avila était une grande amatrice de pommes de terre frites
?
... certaines personnes développent un syndrome d’auto-brasserie et atteignent
l’ivresse rien qu’en mangeant des féculents ?
... ce n’est pas à Bruxelles que l’on vend le plus de paquets de frites par
jour mais... à Shanghai ?
... Marie-Antoinette accrocha des fleurs de pommes de terre à sa boutonnière
afin d’encourager les Français à introduire ce mets sur leur table ?
Dans cet ouvrage original et décalé, Etienne Moulron invite le lecteur à une
promenade gourmande autour de la frite, devenue un symbole, à travers ses
origines, son histoire et les différentes façons de la cuisiner et de la
manger !

(Re)découvrez la frite et toutes ses facettes : ses origines, son histoire et
les différentes façons de la cuisiner et de la manger !

EXTRAIT

Le bon vivant qui passe d’une friterie à l’autre mérite de vivre vieux. N’est-
il pas le meilleur ami des brasseurs, des vignerons, des éleveurs et de tout
le secteur de la restauration et de l’hôtellerie ? La Belgique n’est pas
devenue prospère grâce au muesli et au jus de concombre, mais bien grâce aux
ris de veau et à la trappiste. Supprimez les épicuriens et l’économie
s’effondre. Ils sont les garants de la perpétuation de la culture
bourguignonne et donnent le bon exemple à la jeunesse. Ils constituent des
caves à vin et lisent des ouvrages culinaires pour le plaisir, comme si
c’était de la littérature. Et pas un d’entre eux ne méprise la friterie. Ils
connaissent trop bien les délices de la frite pour y avoir goûté quand ils
étaient étudiants ou soldats. Ils en ont mangé des montagnes et combien de
fois n’ont-ils pas consacré leurs derniers francs à l’achat d’un sachet de
frites au petit matin ?
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