La mondialisation

L’espérance des nations, alternative à la barbarie.
L’espérance d’un progrès perçu comme possible est nécessaire face aux opportunités et aux risques de la mondialisation, car les hommes doivent se mobiliser. Ce sont les nations qui opèrent la cristallisation de consensus d’espérance. Les alliances de consensus nationaux peuvent alors constituer le progrès qui mobilise durablement l’humanité.
Notre histoire européenne, pavée de violences, nous donne une pratique sans équivalent d’alliances supranationales respectant les identités nationales. Au-delà des totalitarismes, nous avons commencé de conjuguer la laïcité, les ressources de l’humanisme et des religions. Nous pouvons contribuer à l’émergence d’espérances mondiales, qui ne soient pas la répétition par un orchestre élargi d’une partition occidentale.
Sur quoi nous appuyer ? Sur l’image que nous avons de nous-mêmes ? Sur celle que les « printemps » de l’est ou de l’orient nous prêtent ? D’autres que nous apprécient à leur juste valeur ces réalités que nous avons reçues : la paix, la liberté, la connaissance, la culture.