L'Europe chinoise ., 1, L'Europe chinoise (Tome 1-De l'Empire romain à Leibniz), De l'Empire romain à Leibniz
EAN13
9782070712069
ISBN
978-2-07-071206-9
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Bibliothèque des Idées
Séries
L'Europe chinoise . (1)
Nombre de pages
448
Dimensions
22,5 x 14 x 3 cm
Poids
465 g
Langue
français
Code dewey
181.11

1 - L'Europe chinoise (Tome 1-De l'Empire romain à Leibniz)

De l'Empire romain à Leibniz

De

Gallimard

Bibliothèque des Idées

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  • Vendu par Librairie La Folia
    Description
    438 pp. Collection "Bibliothèque des idées". Couverture tachée avec un petit accroc. Pages gondolées
    État de l'exemplaire
    Etat moyen
    Format
    in-8
    Nombre de volumes
    1
    Reliure
    Broché
    Langue
    Français
    Lieu de publication
    Paris
    14.00 (Occasion)

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«Marcel Granet m'avait laissé entendre à ses cours que la route de la soie avait probablement permis aux Grecs de connaître plus qu'un peu de la culture chinoise. Cela continua durant l'Empire romain : on a trouvé sur les côtes du Viêt-nam quantité de monnaies romaines qui prouvaient que la voie maritime doublait pour eux la voie terrestre : au point qu'il fallut interdire aux citoyens romains de se vêtir de soie ruineuse : les seules femmes dès lors eurent droit à ce luxe. Jusqu'à l'ambassade de Macartney, qui marque les débuts de l'impérialisme européen, dès lors acharné à s'asservir à l'Empire du Milieu, j'étudiai cinq années durant cette Europe chinoise, dont je livre ici la première moitié. Je m'arrête à Leibniz, sinophile entre tous. Le tome second commencera par un examen de Montesquieu, qui représente, lui, le début du courant contraire, instruit qu'il avait été par un jésuite dissident qui lui avait dit pis que pendre de la Chine. Avec la route de la soie, ce sont les missionnaires en effet, les jésuites au premier chef, qui renseignèrent l'Europe sur un pays qu'ils connaissaient fort bien, lui fournissant mathématiciens, fondeurs de bons canons pour battre la Russie, s'efforçant même d'installer le catholicisme là-bas en prônant des rites chinois, ce qui suscita, aux environs de 1700, une véhémente querelle entre les ordres rivaux, qui prétendaient avoir leur part du gâteau. [...]»Étiemble.
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