- EAN13
- 9782864246862
- ISBN
- 978-2-86424-686-2
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 13/05/2009
- Collection
- Bibliothèque Hispanique
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 21,5 x 14 x 1,3 cm
- Poids
- 227 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Code dewey
- 850
Le Japon n'existe pas
De Alberto Torres-Blandina
Traduit par François Gaudry
Anne-Marie Métailié
Bibliothèque Hispanique
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Ancien livre de Bibliothèque - Métailié GF - 2009 - 9782864246862 - Grand Format
3.19 (Occasion)
Dans un aéroport, un balayeur affable et disert bavarde avec les passagers en attente, devine leur destination, leur donne des conseils, raconte des histoires passionnantes sur ses voisins, flirte avec la vendeuse de journaux. Il propose même à ses interlocuteurs en partance pour Tokyo une théorie originale : " Le Japon n'est qu'une façade. Une opération marketing comme une autre. On l'a inventé pour vendre de la technologie et ça a marché. Made in Japan est aujourd'hui le meilleur label pour vendre une voiture ou un téléviseur. "
D'histoire en histoire cet étrange balayeur nous entraîne avec humour et bonheur jusqu'au revirement final imprévu mais logique.
Le premier roman d'un jeune homme prometteur.
Ce livre a reçu le Prix Las Dos Orillas qui consiste dans la publication simultanée en Italie, Grèce, Espagne, Portugal et France.
Alberto Torres blandina vit à Valence (Espagne). Il est musicien, chanteur-compositeur et enseigne la langue et la littérature espagnoles.
D'histoire en histoire cet étrange balayeur nous entraîne avec humour et bonheur jusqu'au revirement final imprévu mais logique.
Le premier roman d'un jeune homme prometteur.
Ce livre a reçu le Prix Las Dos Orillas qui consiste dans la publication simultanée en Italie, Grèce, Espagne, Portugal et France.
Alberto Torres blandina vit à Valence (Espagne). Il est musicien, chanteur-compositeur et enseigne la langue et la littérature espagnoles.
Commentaires des lecteurs
Vous ne connaissez pas Salvador Fuensanta ? Dommage pour vous...
Pour moi, un terminal d'aéroport est souvent synonyme d'ennui : on attend d'embarquer, on essaie de lire la presse mais sans conviction, on vérifie fébrilement ses papiers d'identité et son billet et on laisse son regard papillonner d'une personne à ...
Lire la suite