- EAN13
- 9782709659437
- ISBN
- 978-2-7096-5943-7
- Éditeur
- JC Lattès
- Date de publication
- 23/08/2017
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 272
- Dimensions
- 20,5 x 13 x 2,3 cm
- Poids
- 316 g
- Langue
- français
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Livre de bibliothèque, tampons présents - Lattès GF - 2017 - 9782709659437 - Grand Format
3.19 (Occasion)
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Au début des années 1970, Balthazar Béranger s’installe avec sa jeune épouse, Sonia, dans une maison à la sortie d’un village. C’est un ancien presbytère, légèrement en retrait par rapport à la route, dont les belles fenêtres sont en partie cachées par un grand tilleul.
Balthazar est un jeune médecin qui entend faire de ses enfants des êtres véritables. Maintenus à l’écart d’un monde jugé néfaste pour leur développement et leur imagination, ces derniers sont initiés à la musique et à la morale pendant que leur mère ne résiste ni à la violence ni à la séduction de son mari.
Pantins impuissants soumis aux coups de leur père et à des exigences de plus en plus humiliantes, ils apprennent à se taire.
Le premier roman d’Ariane Monnier décrit une maison dont les pièces sont progressivement transformées en scène de spectacles cruels, où les portes entrouvertes laissent entendre, en sourdine, de terribles chuchotements.
Balthazar est un jeune médecin qui entend faire de ses enfants des êtres véritables. Maintenus à l’écart d’un monde jugé néfaste pour leur développement et leur imagination, ces derniers sont initiés à la musique et à la morale pendant que leur mère ne résiste ni à la violence ni à la séduction de son mari.
Pantins impuissants soumis aux coups de leur père et à des exigences de plus en plus humiliantes, ils apprennent à se taire.
Le premier roman d’Ariane Monnier décrit une maison dont les pièces sont progressivement transformées en scène de spectacles cruels, où les portes entrouvertes laissent entendre, en sourdine, de terribles chuchotements.
Commentaires des lecteurs
famille
La quatrième de couverture m’avait prévenue : peu à peu, dans le récit familial aux apparences parfaites, des dissonances se glissent. Je m’étais donc préparée à un secret de famille plus ou moins inavouable, mais j’avoue que je ne m’attendais ...
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