- EAN13
- 9782267020762
- ISBN
- 978-2-267-02076-2
- Éditeur
- Christian Bourgois
- Date de publication
- 02/2010
- Collection
- Titres
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 17,8 x 10,8 x 1,5 cm
- Poids
- 230 g
- Langue
- anglais
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 841
« La vraie poésie ne dit rien. Elle ne fait rien que proposer des opportunités et ouvrir toutes les portes. Vous pouvez choisir celle qui vous convient et la franchir.
C’est qui me plaît tant dans la poésie, c’est son immortalité. Tant qu’il y aura des hommes sur terre, ils pourront mémoriser des mots et une combinaison de mots.
Rien d’autre que la poésie ou la chanson pourrait perdurer après un holocauste, personne ne peut décrire un film, une sculpture, une peinture mais tant que l’homme existera, la poésie et la chanson pourront durer. Si ma poésie a un but, c’est celui de délivrer les hommes des limites par lesquelles ils voient et ressentent. » (Jim Morrison)
James Douglas Morrison est né le 8 décembre 1943 à Melbourne en Floride. Poète et chanteur charismatique du groupe The Doors de 1965 à 1971, il est devenu une icône de la musique rock. Il fut aussi un intellectuel engagé dans le mouvement de la protest song, en particulier contre la guerre du Viêtnam. Sa vie durant, il n’a cessé d’écrire. Le culte que lui vouaient les admirateurs de sa musique a pourtant éclipsé ses écrits poétiques d’une grande richesse, auxquels il accordait une importance supérieure. Ce qui lui vaut une réputation de « poète maudit ». Il est mort prématurément, dans des circonstances non élucidées, le 3 juillet 1971 à Paris où il est inhumé au cimetière du Père Lachaise.
Épuisé depuis plusieurs années, ce texte fait l’objet d’une réédition au format de poche, simultanément à celle de La Nuit américaine.
Fatigué de son statut de rock star, Morrison se voulait d’abord poète. La poésie était même peut-être pour lui la seule chose qui comptait. Rimbaud était son héros. Après sa mort à paris en 1971, ses manuscrits et ses carnets sont repartis en Amérique. Ils étaient rangés dans une boîte mystérieuse, référencée « 127 Fascination ». Ce n’est que 20 ans plus tard que la fameuse boîte a été ouverte par ses héritiers littéraires. Wilderness en est le produit ; il rassemble les derniers écrits de Jim Morrison. « Si ma poésie a un but – écrit-il en prologue – c’est de libérer les gens de leurs œillères, de démultiplier leurs sens. »
« Une lumière dionysiaque l'habitait, lui dont le rock fit la gloire et laisserait dans l'ombre sa poésie coupante, lucide, réfléchie comme la vie se réfléchit même dans l’acier d'une lame. » (Claude Michel Cluny - Le Figaro Littéraire)
Du même auteur chez le même éditeur
Arden lointain
Ecrits
La nuit americaine
Wilderness
Du même auteur dans la collection « Titres »
La nuit americaine
C’est qui me plaît tant dans la poésie, c’est son immortalité. Tant qu’il y aura des hommes sur terre, ils pourront mémoriser des mots et une combinaison de mots.
Rien d’autre que la poésie ou la chanson pourrait perdurer après un holocauste, personne ne peut décrire un film, une sculpture, une peinture mais tant que l’homme existera, la poésie et la chanson pourront durer. Si ma poésie a un but, c’est celui de délivrer les hommes des limites par lesquelles ils voient et ressentent. » (Jim Morrison)
James Douglas Morrison est né le 8 décembre 1943 à Melbourne en Floride. Poète et chanteur charismatique du groupe The Doors de 1965 à 1971, il est devenu une icône de la musique rock. Il fut aussi un intellectuel engagé dans le mouvement de la protest song, en particulier contre la guerre du Viêtnam. Sa vie durant, il n’a cessé d’écrire. Le culte que lui vouaient les admirateurs de sa musique a pourtant éclipsé ses écrits poétiques d’une grande richesse, auxquels il accordait une importance supérieure. Ce qui lui vaut une réputation de « poète maudit ». Il est mort prématurément, dans des circonstances non élucidées, le 3 juillet 1971 à Paris où il est inhumé au cimetière du Père Lachaise.
Épuisé depuis plusieurs années, ce texte fait l’objet d’une réédition au format de poche, simultanément à celle de La Nuit américaine.
Fatigué de son statut de rock star, Morrison se voulait d’abord poète. La poésie était même peut-être pour lui la seule chose qui comptait. Rimbaud était son héros. Après sa mort à paris en 1971, ses manuscrits et ses carnets sont repartis en Amérique. Ils étaient rangés dans une boîte mystérieuse, référencée « 127 Fascination ». Ce n’est que 20 ans plus tard que la fameuse boîte a été ouverte par ses héritiers littéraires. Wilderness en est le produit ; il rassemble les derniers écrits de Jim Morrison. « Si ma poésie a un but – écrit-il en prologue – c’est de libérer les gens de leurs œillères, de démultiplier leurs sens. »
« Une lumière dionysiaque l'habitait, lui dont le rock fit la gloire et laisserait dans l'ombre sa poésie coupante, lucide, réfléchie comme la vie se réfléchit même dans l’acier d'une lame. » (Claude Michel Cluny - Le Figaro Littéraire)
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