- EAN13
- 9782412031315
- ISBN
- 978-2-412-03131-5
- Éditeur
- First
- Date de publication
- 03/2018
- Nombre de pages
- 350
- Dimensions
- 21 x 14 x 2,9 cm
- Poids
- 442 g
- Langue
- français
Week-end paresseux, week-end heureux - Réapprendre à ne (vraiment) rien faire pour se reconnecter à
De Katrina Onstad
First
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- French édition - Livre issu de déstockage JAMAIS LU qui présente des petits plis cornes marques de manipulation sur la couverture et/ou les pourtours mais demeurant en très bon état d'ensemble.Expédition sous blister dans une enveloppe matelassée depuis la France
- Format
- 14x21x3cm. 2018. Broché. 352 pages.
7.00 (Occasion)
Le secret d'une vie plus heureuse ? Apprendre à faire de son week-end un sanctuaire de paresse !
Il est loin, le sacro-saint week-end dédié au repos, tout en fluidité et en spontanéité. Regardez un peu à quoi ressemble le vôtre : un enchaînement d'obligations, d'invitations à honorer, de notifications sur votre téléphone... La plupart d'entre nous travaillons bien davantage qu'il y a dix ans. Mais ce qui a réellement changé, c'est que nombre d'entre nous travaillons sept jours sur sept, sans répit pour recharger ses batteries, ni se changer les idées. Pas besoin de compte rendu d'études scientifiques pour percevoir que cette pression ne nous fait pas de bien. La journaliste Katrina Onstad qui souffrait elle-même du blues du dimanche soir, part à la recherche, grâce à l'histoire et à la psychologie positive, de ce qui fait un week-end heureux. Elle s'intéresse aux entreprises, aux pays et aux individus qui protègent farouchement leurs week-ends et les réservent au bonheur, aux découvertes, et surtout à la quête de sens.
Il est loin, le sacro-saint week-end dédié au repos, tout en fluidité et en spontanéité. Regardez un peu à quoi ressemble le vôtre : un enchaînement d'obligations, d'invitations à honorer, de notifications sur votre téléphone... La plupart d'entre nous travaillons bien davantage qu'il y a dix ans. Mais ce qui a réellement changé, c'est que nombre d'entre nous travaillons sept jours sur sept, sans répit pour recharger ses batteries, ni se changer les idées. Pas besoin de compte rendu d'études scientifiques pour percevoir que cette pression ne nous fait pas de bien. La journaliste Katrina Onstad qui souffrait elle-même du blues du dimanche soir, part à la recherche, grâce à l'histoire et à la psychologie positive, de ce qui fait un week-end heureux. Elle s'intéresse aux entreprises, aux pays et aux individus qui protègent farouchement leurs week-ends et les réservent au bonheur, aux découvertes, et surtout à la quête de sens.
S'identifier pour envoyer des commentaires.