- EAN13
- 9782707153630
- ISBN
- 978-2-7071-5363-0
- Éditeur
- La Découverte
- Date de publication
- 26/06/2008
- Collection
- Repères (REP 000517)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 18,1 x 11,1 x 1 cm
- Poids
- 114 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 303.6
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - Repères - 2008 - 9782707153630 - Poche
15.79 (Occasion)
Parler de la violence n'a en guère de sens, tant elle est protéiforme. Cet ouvrage ambitionne de passer en revue toutes ses manifstations possibles.
Alors que les phénomènes de violence paraissent de plus en plus prégnants dans l'actualité quotidienne, cet ouvrage cherche à en comprendre les logiques et à en préciser les limites. Parler de la violence n'a en effet guère de sens tant ce vocable réunit sous un même terme des phénomènes très différents et des manifestations plurielles. L'auteur ambitionne de les passer en revue. Pour autant, il s'agit de mettre à nu les logiques communes d'adhésion à la violence (pourquoi devient-on violent ?), de déroulement des violences (comment s'opère le passage à l'acte ?) et de transformation de ces phénomènes (la violence évolue-t-elle ?). L'État, les contestataires sociaux, les individus délinquants, les opposants politiques : tous utilisent une violence qui, soit exprime une colère et une insatisfaction, soit constitue une ressource politique ou parfois même une identité collective. Même ceux qui répugnent à l'utiliser (dans les régimes démocratiques) usent toujours in fine de la menace de la violence pour conforter leur autorité. S'intéresser à la violence, c'est vouloir comprendre la face sombre de l'activité politique, qui n'en est bien souvent que la traduction civilisée.
Alors que les phénomènes de violence paraissent de plus en plus prégnants dans l'actualité quotidienne, cet ouvrage cherche à en comprendre les logiques et à en préciser les limites. Parler de la violence n'a en effet guère de sens tant ce vocable réunit sous un même terme des phénomènes très différents et des manifestations plurielles. L'auteur ambitionne de les passer en revue. Pour autant, il s'agit de mettre à nu les logiques communes d'adhésion à la violence (pourquoi devient-on violent ?), de déroulement des violences (comment s'opère le passage à l'acte ?) et de transformation de ces phénomènes (la violence évolue-t-elle ?). L'État, les contestataires sociaux, les individus délinquants, les opposants politiques : tous utilisent une violence qui, soit exprime une colère et une insatisfaction, soit constitue une ressource politique ou parfois même une identité collective. Même ceux qui répugnent à l'utiliser (dans les régimes démocratiques) usent toujours in fine de la menace de la violence pour conforter leur autorité. S'intéresser à la violence, c'est vouloir comprendre la face sombre de l'activité politique, qui n'en est bien souvent que la traduction civilisée.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Introduction à la science politique - 2e éd.Xavier Crettiez, Jacques de Maillard, Patrick HassenteufelArmand Colin
-
Violences politiques - Théories, formes, dynamiques, Théories, formes, dynamiquesXavier Crettiez, Nathalie DuclosArmand Colin
-
Introduction à la science politiqueXavier Crettiez, Patrick Hassenteufel, Jacques de MaillardArmand Colin
-
Murs rebelles - iconographie nationaliste contestataire, iconographie nationaliste contestataireXavier Crettiez, Pierre Piazza, Églantine GranierKarthala
-
Les dimensions émotionnelles du politique, Chemins de traverse avec Philippe BraudXavier Crettiez, Isabelle SommierPresses universitaires de Rennes