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Au début, c'est plutôt du Shakespeare. Après, c'est carrément du Céline (du côté de chez Bardamu). Après Un jour de trop (Fleuve noir/Engrenage), Jean-Louis Derenne signe là un second texte au style mordant rythmé par ces rencontres nocturnes, de bitume. " Isidore, c'est mon nom. Isidore, pas méchant mais tellement mal poli. Grande âme, pourtant... envies minuscules. Idées fixes, borné, curieux tout à la fois, chaste et furieusement vicelard. Creuset, poubelle, sacré tas de merde et de roses emmêlées. Homme pour tout dire. Petit homme égaré...3
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