- EAN13
- 9782749944043
- ISBN
- 978-2-7499-4404-3
- Éditeur
- Michel Lafon
- Date de publication
- 26/03/2020
- Nombre de pages
- 172
- Dimensions
- 19,1 x 13,1 x 1,5 cm
- Poids
- 183 g
- Langue
- français
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Ancien livre de Bibliothèque, Couvert - Document - 2020 - 9782749944043 - Grand Format
3.19 (Occasion)
Autre version disponible
De la grippe aviaire au Covid-19
Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.
Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.
S'identifier pour envoyer des commentaires.