- EAN13
- 9782228906746
- ISBN
- 978-2-228-90674-6
- Éditeur
- Payot
- Date de publication
- 17/05/2011
- Collection
- Petite Bibliothèque
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 17 x 11 x 1,2 cm
- Poids
- 98 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 150.1952
L'inquiétant familier - Suivi du Marchand de sable de E. T. A. Hoffmann
De Sigmund Freud
Traduit par Olivier Mannoni
Payot
Petite Bibliothèque
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Vendu par Librairie La Folia
- Description
- Collection "Petite Bibliothèque Payot". 153 pp. Quelques soulignements au crayon de bois. Couverture frottée
- État de l'exemplaire
- Etat satisfaisant
- Format
- in-12
- Nombre de volumes
- 1
- Reliure
- Broché
- Langue
- Français
- Lieu de publication
- Paris
6.00 (Occasion)
Autre version disponible
Ce livre offre une traduction inédite de L'Inquiétante Étrangeté, célèbre texte de 1919, auquel nous avons ajouté, également retraduite, la nouvelle d'E.T.A. Hoffmann sur laquelle Freud s'appuie.
Ce qui est familier ne devrait pas être inquiétant ; et pourtant, dans certains cas, il l'est. Un objet apparemment animé dont on se demande s'il est réellement vivant, ou un objet sans vie dont on se demande s'il ne pourrait pas s'animer, peuvent produire ce sentiment de malaise. Ernst Jentsch, le premier, s'y est intéressé en 1906, trouvant que E.T.A. Hoffmann, dans sa nouvelle intitulée L'homme au sable, et dans laquelle il met en scène une poupée douée de vie, en avait fait un procédé littéraire. Freud s'y intéresse à son tour en l'éclairant par la notion de secret, de caché. Quelque chose qui était dans l'ombre, soudain apparaît, suscitant un sentiment d'étrangeté – comme lorsque des complexes infantiles refoulés sont ranimés.
Ce qui est familier ne devrait pas être inquiétant ; et pourtant, dans certains cas, il l'est. Un objet apparemment animé dont on se demande s'il est réellement vivant, ou un objet sans vie dont on se demande s'il ne pourrait pas s'animer, peuvent produire ce sentiment de malaise. Ernst Jentsch, le premier, s'y est intéressé en 1906, trouvant que E.T.A. Hoffmann, dans sa nouvelle intitulée L'homme au sable, et dans laquelle il met en scène une poupée douée de vie, en avait fait un procédé littéraire. Freud s'y intéresse à son tour en l'éclairant par la notion de secret, de caché. Quelque chose qui était dans l'ombre, soudain apparaît, suscitant un sentiment d'étrangeté – comme lorsque des complexes infantiles refoulés sont ranimés.
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