- EAN13
- 9782213643526
- ISBN
- 978-2-213-64352-6
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 25/01/2012
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 1,2 cm
- Poids
- 230 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
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- French édition - légères marques plis de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état d'ensemble. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
- Format
- 21x13x2cm. 2012. Broché. 160 pages.
6.00 (Occasion)
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La petite ville de Vigàta, en 1942-43. Nino, garde-barrière de son état
et Minica, son épouse, filent des jours heureux dans leur maisonnette
au bord de la voie ferrée. La guerre qui gronde autour d’eux et le fascisme aux
abois, mais toujours virulent, ne les empêchent pas de rêver d’un enfant
et, pourquoi pas, de gagner à la loterie. Cependant tout bascule lorsque
Nino et son copain Totò, qui arrondissent leurs fins de mois grâce à de petits
concerts dans le salon du barbier, décident de contourner la censure en
interprétant des versions remaniées d’hymnes militaires et patriotiques.
À sa manière tendre et truculente, Camilleri brosse le tableau des lâchetés
ordinaires et des héroïsmes modestes d’une période troublée de l’histoire
sicilienne. Soif du pouvoir et cruauté s’entrecroisent, auxquelles répond le
tenace espoir des gens simples.
et Minica, son épouse, filent des jours heureux dans leur maisonnette
au bord de la voie ferrée. La guerre qui gronde autour d’eux et le fascisme aux
abois, mais toujours virulent, ne les empêchent pas de rêver d’un enfant
et, pourquoi pas, de gagner à la loterie. Cependant tout bascule lorsque
Nino et son copain Totò, qui arrondissent leurs fins de mois grâce à de petits
concerts dans le salon du barbier, décident de contourner la censure en
interprétant des versions remaniées d’hymnes militaires et patriotiques.
À sa manière tendre et truculente, Camilleri brosse le tableau des lâchetés
ordinaires et des héroïsmes modestes d’une période troublée de l’histoire
sicilienne. Soif du pouvoir et cruauté s’entrecroisent, auxquelles répond le
tenace espoir des gens simples.
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