Petites histoires de l'histoire de l'art
EAN13
9782755609295
ISBN
978-2-7556-0929-5
Éditeur
Hugo Document
Date de publication
Collection
Hors collection
Nombre de pages
237
Dimensions
22,1 x 15,2 x 2,3 cm
Poids
354 g
Langue
français
Code dewey
702.0208

Petites histoires de l'histoire de l'art

De

Hugo Document

Hors collection

Indisponible
Sur le modèle des Petites histoires de l’histoire de France de Jean-Paul Rouland et quelque part entre les Miscellanées de Mr Schott et Au bonheur des mots de Claude Gagnière, voici Les petites histoires de l’histoire de l’art.
Le lecteur y trouvera toute une série d’histoires drôles sur les artistes de tous les temps, aussi des détails insolites sur des tableaux célèbres comme les noms des personnages qui figurent dans Le Déjeuner des canotiers de Renoir ou des faits curieux comme le titre du tableau le plus souvent volé – et rendu !
Thèmes abordés :
Art et critique ; art et technique, artistes facétieux, arts premiers, faiblesses, originalités, faux et trouvailles, finances, inspiration, imagination, miscellanées, mort, superstitions, surnoms / étymologies, vannes / mots féroces, vols
Quelques exemples :
Vols : Portrait de Jacob de Gheyn III, de Rembrandt : Ce portrait possède un curieux record : il est le tableau le plus souvent volé. Il l’a en effet été quatre fois depuis 1966. Mais Jacob de Gheyn III est comme le boomerang : il revient toujours à son point de départ. A chaque fois il a été rendu anonymement.

Artistes facétieux
On raconte cette anecdote amusante sur Chagall, qui a le mérite de souligner sa modestie. Chagall descend de son échafaudage et va déjeuner dans un bistrot du quartier, comme il en existait encore à l’époque. A midi, le petit peuple parisien d’employés et de prolos vient y déjeuner. Chagall et son fils s’installent à côté d’ouvriers. La blouse pleine de taches, il est pris pour un peintre en bâtiment et l’un d’eux lui demande : « Tu fais un chantier par ici ? » Et Chagall de répondre : « Je refais un plafond ».

Mort
Georges Clemenceau était l'ami intime de Monet et a écrit de très belles pages sur les Nymphéas. Sans lui leur présentation au musée de l’Orangerie n’aurait jamais en lieu. Quand il est invité à se recueillir sur la dépouille de son ami à Giverny en 1926, il avise le drap funèbre au noir lugubre et il a alors un geste magnifique et émouvant : il arrache un rideau aux couleurs éclatantes et le jette sur le cercueil en s’écriant : « Pas de noir pour Monet ! »
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