- EAN13
- 9782221091982
- ISBN
- 978-2-221-09198-2
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 30/03/2000
- Collection
- Pavillons
- Nombre de pages
- 336
- Dimensions
- 22 x 13,5 x 2,7 cm
- Poids
- 410 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
La fin d'une liaison - NE
roman
De Graham Greene
Traduit par Marcelle Sibon
Robert Laffont
Pavillons
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - Pavillons - 2000 - 9782221091982 - Grand Format
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Le roman qui a inspiré le film réalisé par Neil Jordan, avec Ralph Fiennes, Julianne Moore et Stephen Rea.
"Elle m'avait dit :– Vous n'avez pas besoin de craindre... L'amour n'a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d'aimer Dieu toute leur vie sans le voir?– Ce n'est pas le même amour que le nôtre.– Je pense parfois qu'il n'en existe qu'un, répondit-elle.Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l'éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta:– Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C'était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1."
"Elle m'avait dit :– Vous n'avez pas besoin de craindre... L'amour n'a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d'aimer Dieu toute leur vie sans le voir?– Ce n'est pas le même amour que le nôtre.– Je pense parfois qu'il n'en existe qu'un, répondit-elle.Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l'éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta:– Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C'était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1."
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