Une adolescence du siècle. Jacques Rivière et la NRF, Jacques Rivière et la NRF
EAN13
9782020232043
ISBN
978-2-02-023204-3
Éditeur
Seuil
Date de publication
Collection
BIOGRAPHIE
Nombre de pages
612
Dimensions
25 x 15,3 x 4,2 cm
Poids
960 g
Langue
français

Une adolescence du siècle. Jacques Rivière et la NRF

Jacques Rivière et la NRF

De

Seuil

Biographie

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  • Vendu par Librairie S.P.Rance
    Description
    PARIS,Editions du Seuil - 1994.- In-8° - Couverture rigide illustrée - Quatrième de couverture Photo de l'auteur - Cahier de 16 pages de photos NB - 599 pages - Bon exemplaire
    État de l'exemplaire
    Notre siècle, c'est en son adolescence, dans le premier quart de sa course, qu'il nous aura donné, à nous Français, le meilleur de la récolte. Et le meilleur témoin en est cette nouvelle Revue française où Gide et Valery, Proust et Claudel, Martin du Gard et Malraux manifestaient une multiple fécondité culturelle. A cet extraordinaire orchestre de grands solistes, il fallait un chef. C'est le plus jeune qui fut choisi. A trente-trois ans, à peine revenu de la guerre, Jacques Rivière fut chargé non seulement de faire jouer à l'unisson Claudel et Gide, Debussy, Stravinski et Cézanne, mais d'ouvrir les voies nouvelles vers le surréalisme, le cubisme et la paix. Jean Lacouture qui, avec le talent que l'on sait, s'était attaché jusqu' ici à l'évocation biographique de gloires consacrées rend cette fois justice à l'un des grands oubliés de la littérature contemporaine, à un pionnier qui fut l'ami, le confident, le conseiller de Proust et de Gide, de Claudel et de Mauriac et de Saint-John Perse, l'un des "accoucheurs" de notre culture vivante. ISBN :
    12.00 (Occasion)
Notre siècle, c'est en son adolescence, dans le premier quart de sa course, qu'il nous aura donné, à nous Français, le meilleur de la récolte. Et le meilleur témoin en est cette Nouvelle Revue française où Gide et Valéry, Proust et Claudel, Martin du Gard et Malraux manifestaient une multiple fécondité culturelle.A cet extraordinaire orchestre de grands solistes, il fallait un chef. C'est le plus jeune qui fut choisi. A trente-trois ans, à peine revenu de la guerre, Jacques Rivière fut chargé non seulement de faire jouer à l'unisson Claudel et Gide, Debussy, Stravinski et Cézanne, mais d'ouvrir les voies nouvelles vers le surréalisme, le cubisme et la paix.Jean Lacouture qui, avec le talent que l'on sait, s'était attaché jusqu'ici à l'évocation biographique de gloires consacrées rend cette fois justice à l'un des grands oubliés de la littérature contemporaine, à un pionnier qui fut l'ami, le confident, le conseiller de Proust et de Gide, de Claudel, de Mauriac et de Saint-John Perse, l'un des « accoucheurs » de notre culture vivante.
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