- EAN13
- 9782258092730
- ISBN
- 978-2-258-09273-0
- Éditeur
- Les Presses de la Cité
- Date de publication
- 07/02/2013
- Collection
- Grands Romans Domaine Français (2)
- Séries
- Les mystères de Bruxelles (2)
- Nombre de pages
- 307
- Dimensions
- 22,6 x 14,2 x 2,8 cm
- Poids
- 397 g
- Langue
- français
2 - Les fenêtres murmurent
roman
De Dulle Griet
Les Presses de la Cité
Grands Romans Domaine Français
Autre version disponible
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Les mystères de Bruxelles, 1, Petits meurtres chez ces gens-làDulle GrietLes Presses de la Cité3,19
A Anderlecht, commune de Bruxelles, près de la maison d'Erasme. Deux couples, deux célibataires, plusieurs possibilités... Un meurtre pour enrayer le chassé-croisé amoureux. Et une enquête de plus pour l'inspecteur Lilas Klaus et son acolyte Serge Zwanze. Bienvenue chez les Belges !
Pourquoi faudrait-il qu'une femme soit belle pour être aimée ? Quand Lucien Raskin lui pose la question, Georgette Vanderbiest est aux anges. Quelques jours plus tard, elle est égorgée. En cette période de carnaval, c'est à l'inspecteur Lilas Klaus et à son acolyte Serge Zwanze qu'il revient de faire tomber les masques pour dévoiler le visage du meurtrier. Or, des masques, il y en a. Un mari trop séduisant. Un ami trop entreprenant. Une handicapée trop belle. Une bibliothécaire trop ingénue. Sans oublier un violoncelliste qui consacre ses soirées à jouer de son instrument, nu, face à sa fenêtre qui ouvre sur le lieu du crime. Elle est pourtant bien paisible, cette minuscule rue Porselein, à Anderlecht. Bienvenue chez les Belges !
Pourquoi faudrait-il qu'une femme soit belle pour être aimée ? Quand Lucien Raskin lui pose la question, Georgette Vanderbiest est aux anges. Quelques jours plus tard, elle est égorgée. En cette période de carnaval, c'est à l'inspecteur Lilas Klaus et à son acolyte Serge Zwanze qu'il revient de faire tomber les masques pour dévoiler le visage du meurtrier. Or, des masques, il y en a. Un mari trop séduisant. Un ami trop entreprenant. Une handicapée trop belle. Une bibliothécaire trop ingénue. Sans oublier un violoncelliste qui consacre ses soirées à jouer de son instrument, nu, face à sa fenêtre qui ouvre sur le lieu du crime. Elle est pourtant bien paisible, cette minuscule rue Porselein, à Anderlecht. Bienvenue chez les Belges !
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