- EAN13
- 9782738129895
- ISBN
- 978-2-7381-2989-5
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 07/05/2013
- Collection
- OJ.DOCUMENT
- Nombre de pages
- 220
- Dimensions
- 22,5 x 14,5 x 1,5 cm
- Poids
- 275 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 297.265
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Vendu par Livres sur Sorgue
- État de l'exemplaire
- Très bon état
- Format
- 14 3x21 9x1 7cm. 2013. Broché. 220 pages.
8.00 (Occasion)
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?Physicienne reconnue et personnalité politique de premier plan en Tunisie, Faouzia Farida Charfi offre avec ce livre un vibrant plaidoyer pour la science et l'autonomie de la pensée. Puisant dans l'actualité récente, mais aussi dans l'histoire, elle retrace ici les relations entretenues par l'islam et la science. Des relations qui, après un véritable âge d'or des sciences arabes et la période réformiste du XIXe siècle, sont désormais marquées du sceau de l'ambiguïté : oscillant entre le rejet et la fascination, les islamistes se livrent aujourd'hui à des tentatives pour concilier les théories scientifiques et le Coran, dénaturant ainsi et la science et l'islam, sous prétexte de modernité. Faouzia Farida Charfi analyse aussi le créationnisme pour dénoncer l'alliance objective des fondamentalismes - anglo-saxons ou musulmans -, et le sort qu'ils réservent aux femmes. Elle rappelle enfin que l'on peut les combattre et ouvre quelques pistes en ce sens. Un appel pour que la Tunisie se donne les moyens de son avenir.
Faouzia Farida Charfi est physicienne et professeur à l'Université de Tunis. Militante de la première heure, dès la présidence de Habib Bourguiba, elle a été nommée secrétaire d'État à l'Enseignement supérieur dans le gouvernement provisoire issu de la révolution du 14 janvier 2011. Elle en a démissionné peu après pour reprendre sa liberté de parole et d'action.
Faouzia Farida Charfi est physicienne et professeur à l'Université de Tunis. Militante de la première heure, dès la présidence de Habib Bourguiba, elle a été nommée secrétaire d'État à l'Enseignement supérieur dans le gouvernement provisoire issu de la révolution du 14 janvier 2011. Elle en a démissionné peu après pour reprendre sa liberté de parole et d'action.
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