- EAN13
- 9782865890224
- ISBN
- 978-2-86589-022-4
- Éditeur
- Macula Éditions
- Date de publication
- 03/1988
- Nombre de pages
- 316
- Dimensions
- 21 x 13,5 x 2,2 cm
- Poids
- 430 g
- Langue
- français
Lord Elgin
L'Homme Qui S'Empara Des Marbres Du...
De William St Clair
Traduit par Jeannie Carlier, Marie-Gabrielle Carlier
Macula Éditions
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commander
« Stupide spoliateur, misérable antiquaire aidé de ses infâmes agents» (Byron), «bienfaiteur de la nation anglaise, rénovateur du goût » (Benjamin West) - la personnalité fascinante de Lord Elgin résume à elle seule l'épopée archéologique du XIXe siècle.
Elgin sauva-t-il de la «barbarie» turque les admirables sculptures de Phidias aujourd'hui conservées au British Museum ? Commit-il un sacrilège en dépouillant un monument illustre qui avait résisté vingt-trois siècles aux assauts du temps et des hommes ? C'est la question que pose ce livre. Il raconte comment, au hasard des renversements d'alliances et des coups d'éclat militaires de Bonaparte ou de Nelson, deux équipes d'« archéologues » anglais et français (des hommes d'action, des aventuriers) se disputent les chefs-d'œuvre de l'Acropole sous l'œil tour à tour sourcilleux et perplexe de l'occupant turc.
Ì Î –
ons, comment ils parviennent en pleine guerre à transporter leur butin jusqu'à Londres ou Paris.
Comment on les y accueille, et comment Elgin, si avide qu'il était d'apporter à l'Angleterre le supplément d'âme qui ferait d'elle une grande nation créatrice, finira ruiné, trompé, amer, accablé sous le poids de ces pierres qu'il croyait avoir rendues à la culture occidentale.
Elgin sauva-t-il de la «barbarie» turque les admirables sculptures de Phidias aujourd'hui conservées au British Museum ? Commit-il un sacrilège en dépouillant un monument illustre qui avait résisté vingt-trois siècles aux assauts du temps et des hommes ? C'est la question que pose ce livre. Il raconte comment, au hasard des renversements d'alliances et des coups d'éclat militaires de Bonaparte ou de Nelson, deux équipes d'« archéologues » anglais et français (des hommes d'action, des aventuriers) se disputent les chefs-d'œuvre de l'Acropole sous l'œil tour à tour sourcilleux et perplexe de l'occupant turc.
Ì Î –
ons, comment ils parviennent en pleine guerre à transporter leur butin jusqu'à Londres ou Paris.
Comment on les y accueille, et comment Elgin, si avide qu'il était d'apporter à l'Angleterre le supplément d'âme qui ferait d'elle une grande nation créatrice, finira ruiné, trompé, amer, accablé sous le poids de ces pierres qu'il croyait avoir rendues à la culture occidentale.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Faussaires et critiques, Créativité et duplicité chez les érudits occidentaux.Anthony GraftonBelles Lettres
-
La "Solution finale" dans l'Histoire. Préface de Pierre Vidal-Naquet.Arno MayerParis, Editions de la Découverte,35,80