- EAN13
- 9782262029135
- ISBN
- 978-2-262-02913-5
- Éditeur
- Tempus Perrin
- Date de publication
- 04/09/2008
- Collection
- Tempus (TEMP000231)
- Nombre de pages
- 224
- Dimensions
- 17,8 x 10,9 x 1,5 cm
- Poids
- 148 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 301
Moralement correct recherche valeurs désespérément
recherche valeurs désespérément
De Jean Sévillia
Tempus Perrin
Tempus
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Vendu par Livres sur Sorgue
- État de l'exemplaire
- Bon Etat intérieur propre
- Format
- poche. 2012. Broché. 211 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger
4.00 (Occasion)
Les bouleversements survenus dans les années 1960-1980 ont profondément modifié les mentalités. Les principes de la morale traditionnelle ont laissé la place au "moralement correct", les valeurs communes aux intérêts individuels. Se pose alors la question : peut-on encore vivre ensemble ?
Tous les Français, naguère, étaient élevés selon des valeurs identiques. Il existait une France de gauche et une France de droite, une France laïque et une France chrétienne, mais la morale de l'instituteur ressemblait à celle du curé. A partir des années 1970, sous l'effet d'une double révolution – celle de la société et celle des idées –, chacun a pris l'habitude de définir ses propres critères du bien et du mal. Le résultat, aujourd'hui, c'est que les règles collectives s'effacent, ouvrant la porte à une société éclatée, où le seul guide est l'intérêt personnel. Une tendance encouragée par le moralement correct qui prêche le principe de plaisir, le droit à la différence, le devoir de tolérance, la transgression des traditions, la relativité des conventions. Mais peut-on vivre sans valeurs partagées ? Pour sortir de la crise qui se manifeste des banlieues à l'école, de l'Etat à la famille, du travail à la culture, il faudra bien réinventer des codes communs.
Tous les Français, naguère, étaient élevés selon des valeurs identiques. Il existait une France de gauche et une France de droite, une France laïque et une France chrétienne, mais la morale de l'instituteur ressemblait à celle du curé. A partir des années 1970, sous l'effet d'une double révolution – celle de la société et celle des idées –, chacun a pris l'habitude de définir ses propres critères du bien et du mal. Le résultat, aujourd'hui, c'est que les règles collectives s'effacent, ouvrant la porte à une société éclatée, où le seul guide est l'intérêt personnel. Une tendance encouragée par le moralement correct qui prêche le principe de plaisir, le droit à la différence, le devoir de tolérance, la transgression des traditions, la relativité des conventions. Mais peut-on vivre sans valeurs partagées ? Pour sortir de la crise qui se manifeste des banlieues à l'école, de l'Etat à la famille, du travail à la culture, il faudra bien réinventer des codes communs.
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