- EAN13
- 9782205051735
- ISBN
- 978-2-205-05173-5
- Éditeur
- Dargaud
- Date de publication
- 05/11/2001
- Collection
- LE CADET DES SO (6)
- Nombre de pages
- 56
- Dimensions
- 29,8 x 22,5 x 0,9 cm
- Poids
- 395 g
- Langue
- français
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO30346455: 2000. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 48 pages de bande-dessinée en couleur. Une étiquette sur le 1er plat. Une étiquette et un morceau d'adhésif sur le dos. Une annotation à l'encre sur la page de titre. Quelques tampons dans le texte.. . . . Classification Dewey : 843.06-Bande dessinée
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable
- Format
- In-4
- Reliure
- Relié
25.80 (Occasion)
C'est l'hiver sous la neige. Soupetard retrouve son copain Ludo qui a piqué deux boulons à son père pour fabriquer un télescope au cours de M'sieu Latreille. Mais tout à coup, branle-bas de combat : Bastien annonce qu'ils se sont fait traiter de petits bras par l'escouade des requins-marteaux. Il faut laver l'affront.
Ça commence avec des boules de neige, ça finit avec une grenade qui explose à la figure de Ludo. Qui a lancé la grenade ? Voilà la question qui préoccupe les adultes, et à laquelle les gamins ne répondront pas, par solidarité - et accessoirement parce qu'ils n'en savent rien.
Mais la grenade fait remonter des souvenirs pénibles. Chez le coiffeur et chez l'épicier, on s'engueule ferme au sujet du taux de collaboration et de résistance de chacun, à l'époque... Et pendant ce temps-là, les mômes jouent à la guerre. Quand on est mort, on doit compter jusqu'à cinquante avant de se relever, c'est la règle. Et quand un blessé a son lacet défait, il dit pouce et on peut plus le tuer. Comme dans la convention de Geneviève, une " grosse bonne femme neutre " qui regarde et rouspète si on tue un blessé.
Heureusement, Ludo retrouvera la vue juste à temps pour admirer Saturne dans le télescope de M'sieu Latreille. Et s'il consent à se laver un peu, Bastien aura le droit de se promener avec la soeur de Soupetard jeudi prochain. Ce qui fait planer un fameux suspens sur cette série craquante, pleine de joie de vivre, d'humour et de vérité enfantine. A mettre absolument entre toutes les mains.
Ça commence avec des boules de neige, ça finit avec une grenade qui explose à la figure de Ludo. Qui a lancé la grenade ? Voilà la question qui préoccupe les adultes, et à laquelle les gamins ne répondront pas, par solidarité - et accessoirement parce qu'ils n'en savent rien.
Mais la grenade fait remonter des souvenirs pénibles. Chez le coiffeur et chez l'épicier, on s'engueule ferme au sujet du taux de collaboration et de résistance de chacun, à l'époque... Et pendant ce temps-là, les mômes jouent à la guerre. Quand on est mort, on doit compter jusqu'à cinquante avant de se relever, c'est la règle. Et quand un blessé a son lacet défait, il dit pouce et on peut plus le tuer. Comme dans la convention de Geneviève, une " grosse bonne femme neutre " qui regarde et rouspète si on tue un blessé.
Heureusement, Ludo retrouvera la vue juste à temps pour admirer Saturne dans le télescope de M'sieu Latreille. Et s'il consent à se laver un peu, Bastien aura le droit de se promener avec la soeur de Soupetard jeudi prochain. Ce qui fait planer un fameux suspens sur cette série craquante, pleine de joie de vivre, d'humour et de vérité enfantine. A mettre absolument entre toutes les mains.
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