- EAN13
- 9782020194266
- ISBN
- 978-2-02-019426-6
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 1996
- Collection
- Science ouverte
- Nombre de pages
- 512
- Dimensions
- 0,1 x 0,1 x 0,1 cm
- Poids
- 501 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 576.801
Comme les huit doigts de la main. Réflexions sur l'histoire naturelle
réflexions sur l'histoire naturelle
De Stephen Jay Gould
Traduit par Marcel Blanc
Seuil
Science ouverte
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Vendu par Librairie A Tout Livre
- Description
- réflexions sur l'histoire natureller, l'échelle des extinctions, les petites surprises de l'anatomie des vertébrés, méditations, la nature humaine, les grandes modalités de l'évolution, la révision et l'extension du drawinisme, renversements de perspectives, fragments d'un livr non écxrit,
- État de l'exemplaire
- usage, bon état
- Format
- in-8
- État de la jaquette
- illustrations, couverture illustrée
- Reliure
- broché
14.00 (Occasion)
Dans ce sixième volume de ses célèbres chroniques d’histoire naturelle, Stephen Jay Gould démontre un extraordinaire talent de renouvellement.
De tous ses ouvrages, celui-ci est le plus personnel et le plus contemplatif ; il propose une méditation sur l’importance de la chaîne continue qui lie nos vies à celles des générations antérieures, « un thème d’importance cruciale pour les évolutionnistes, dans ce monde où l’extinction est le destin ultime, et où la durée de l’existence offre la seule mesure pertinente du succès ». Ce qui conduit tout naturellement à une sérieuse réflexion sur la détérioration de l’environnement et la disparition des espèces.
Mais Gould reste aussi le conteur de merveilleuses histoires : la disparition des escargots sur une île d’opérette du pacifique, un conflit entre les écureuils et les astronomes, la queue coudée des ichtyosaures, un prophétique discours botanique de Goethe – et la raison pour laquelle nous avons cinq doigts, et non six ou huit…
De tous ses ouvrages, celui-ci est le plus personnel et le plus contemplatif ; il propose une méditation sur l’importance de la chaîne continue qui lie nos vies à celles des générations antérieures, « un thème d’importance cruciale pour les évolutionnistes, dans ce monde où l’extinction est le destin ultime, et où la durée de l’existence offre la seule mesure pertinente du succès ». Ce qui conduit tout naturellement à une sérieuse réflexion sur la détérioration de l’environnement et la disparition des espèces.
Mais Gould reste aussi le conteur de merveilleuses histoires : la disparition des escargots sur une île d’opérette du pacifique, un conflit entre les écureuils et les astronomes, la queue coudée des ichtyosaures, un prophétique discours botanique de Goethe – et la raison pour laquelle nous avons cinq doigts, et non six ou huit…
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