Mémoires (Tome 2-De 1820 à 1848), Récits d'une tante
EAN13
9782715214026
ISBN
978-2-7152-1402-6
Éditeur
Mercure de France
Date de publication
Collection
Le Temps retrouvé (2)
Nombre de pages
512
Dimensions
20,5 x 14 x 3,5 cm
Poids
744 g
Langue
français

Mémoires (Tome 2-De 1820 à 1848)

Récits d'une tante

De

Mercure de France

Le Temps retrouvé

Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
entrez le nom de votre ville

Offres

  • Vendu par Librairie Philippe Lucas
    Description
    Mercure de France 1986, fort in/8 broché, 546 pages. Mémoires de la Comtesse de Boigne, née d'Osmond, récit d'une tante, édition présentée et annotée par Jean-Claude Berchet
    État de l'exemplaire
    Couvrant près de soixante-dix ans, les Mémoires de la comtesse de Boigne occupent une place à part dans la littérature de souvenirs, ne serait-ce que par la richesse de leur information et la qualité exceptionnelle de leur style. Document irremplaçable sur toute la période qui va des dernières années de l'Ancien Régime à la révolution de 1848, ces Mémoires ont fait de la comtesse de Boigne, depuis leur première publication en 1907, un personnage quasi mythique. Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'oeuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démonte les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale. Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son oeuvre personnelle.
    État de la jaquette
    D'OccasionBonétat
    Reliure
    broché
    18.00 (Occasion)
Couvrant près de soixante-dix ans, les Mémoires de la comtesse de Boigne occupent une place à part dans la littérature de souvenirs, ne serait-ce que par la richesse de leur information et la qualité exceptionnelle de leur style.Document irremplaçable sur toute la période qui va des dernières années de l'Ancien Régime à la révolution de 1848, ces Mémoires ont fait de la comtesse de Boigne, depuis leur première publication en 1907, un personnage quasi mythique. Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'œuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démonte les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale.Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son œuvre personnelle.
Avec un index onomastique
S'identifier pour envoyer des commentaires.