- EAN13
- 9782020099806
- ISBN
- 978-2-02-009980-6
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 1988
- Collection
- FICTION ET CIE (100)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 0,1 x 0,1 x 0,1 cm
- Poids
- 401 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 833.914
Théorie de la menace. Précédé de : La Soeur de Marlene
De Botho Strauss
Traduit par Aglaia I. Hartig, Philippe Ivernel
Seuil
Fiction Et Cie
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Écrits au milieu des années soixante-dix, ces deux récits ont révélé un écrivain. On y rencontre des personnages aux origines indécises, qui surgissent et s’évanouissent de façon mystérieuse, se métamorphosent dans d’étranges circonstances où apparaissent crûment l’illusion de l’identité, la stérilité de l’union et la formidable vanité attachée au sentiment de soi.
Dans Théorie de la menace, une femme crie le nom d’un homme qu’elle n’a, semble-t-il, jamais connu. Cet homme en tout cas ne se souvient pas d’avoir vécu avec elle. Et pourtant les souvenirs de Léa sont si précis... Il écrit sur elle : le sentiment d’aimer Léa n’est autre, dit-il, que le sentiment de commencer un livre. Pour aimer Léa, il partira en Cornouailles, là-bas où d’autres fantômes l’attendent. Car aimer Léa, c’est se laisser envahir par l’angoisse et accepter au bout du compte de risquer sa vie pour en atteindre le principe : la séparation.
Marlene, dans le second récit, se sépare de sa sœur dont la présence à ses côtés l’opprime. Elle dérive, inaccessible au monde, et se dissout lentement. La Sœur de Marlene est le conte fantastique de la séparation et de la perte d’identité qui en découle.
La prose ciselée de ces deux récits, véritables matrices de l’œuvre, est celle du Botho Strauss que nous lisons aujourd’hui, l’un des plus grands écrivains allemands contemporains.
Traduction de l’allemand et postface par Aglaia I. Hartig et de Philippe Ivernel.
Dans Théorie de la menace, une femme crie le nom d’un homme qu’elle n’a, semble-t-il, jamais connu. Cet homme en tout cas ne se souvient pas d’avoir vécu avec elle. Et pourtant les souvenirs de Léa sont si précis... Il écrit sur elle : le sentiment d’aimer Léa n’est autre, dit-il, que le sentiment de commencer un livre. Pour aimer Léa, il partira en Cornouailles, là-bas où d’autres fantômes l’attendent. Car aimer Léa, c’est se laisser envahir par l’angoisse et accepter au bout du compte de risquer sa vie pour en atteindre le principe : la séparation.
Marlene, dans le second récit, se sépare de sa sœur dont la présence à ses côtés l’opprime. Elle dérive, inaccessible au monde, et se dissout lentement. La Sœur de Marlene est le conte fantastique de la séparation et de la perte d’identité qui en découle.
La prose ciselée de ces deux récits, véritables matrices de l’œuvre, est celle du Botho Strauss que nous lisons aujourd’hui, l’un des plus grands écrivains allemands contemporains.
Traduction de l’allemand et postface par Aglaia I. Hartig et de Philippe Ivernel.
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