La muselière
EAN13
9782266148887
ISBN
978-2-266-14888-7
Éditeur
Pocket
Date de publication
Collection
Presses-pocket (PPO 004483)
Nombre de pages
383
Dimensions
17,8 x 10,8 x 1,6 cm
Poids
197 g
Langue
français
Code dewey
849

La muselière

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  • Vendu par Librairie David Long
    État de l'exemplaire
    Bon Etat
    Format
    poche. 2004. Broché. 384 pages. Un matin on découvre Mathilda morte dans sa baignoire poignets tailladés bourrée de somnifères et un étrange objet sur le visage. Uns sorte de muselière dont on se servait au Moyen-âge pour empêcher les mégères de parler... La vieille dame s'en servait elle pour punir sa fille quand elle pleurait... Autopunition ? Suicide ? Tout porte à le croire.Mais le sergent-détective Cooper et le médecin de la vieille dame Sarah ne peuvent s'empêcher de penser à un meurtre. D'autant plus que Mathilda était détestée partout également par sa propre famille et qu'elle laisse un très gros héritage.Héritage en faveur de... Sarah qu'elle ne connaît que depuis un an ! Les langues n'ont pas fini de jaser. Dommage que la muselière soit déjà prise ! Les soupçons vont bien sur se porter sur la gentille Sarah et il va lui falloir beaucoup d'énergie pour prouver la vérité
    2.90 (Occasion)

Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage. Elle était richissime, avare et fabulatrice. Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait au profit de son médecin personnel.On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d'asters et d'orties blanches, comme Ophélie, et le visage fermé dans une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale.Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était un sorte de chef-d'œuvre, une énigme résultant d'une vie entière de mensonges, d'amours étranges, de haine et de violence. Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu.
"'La muselière' est un opéra qui titube entre l'amour fou et les couteaux de cuisine. On s'immerge dans cette sombre lumière avec une volupté horrifiée."
Renaud Matignon, "Le Figaro"
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