- EAN13
- 9782258059757
- ISBN
- 978-2-258-05975-7
- Éditeur
- Les Presses de la Cité
- Date de publication
- 22/05/2003
- Collection
- Sang d'Encre
- Nombre de pages
- 500
- Dimensions
- 22,6 x 14,3 x 3,6 cm
- Poids
- 510 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 849
L'analyste
roman
De John Katzenbach
Traduit par Jean-Charles Provost
Les Presses de la Cité
Sang d'Encre
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R160032260: 2003. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 500 pages.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
30.90 (Occasion)
Autre version disponible
"Heureux 53e anniversaire, docteur. Bienvenue au premier jour de votre mort."
Le jour où il reçoit cette mystérieuse lettre de menace, l'existence jusqu'alors si prévisible du docteur Starcks bascule dans le chaos. Ce psychanalyste renommé se trouve subitement entraîné dans un jeu morbide conçu par un homme se faisant appeler Rumplestiltskin. Les règles en sont simples : Starks dispose de deux semaines pour identifier son maître chanteur et les raisons de sa colère. S'il y parvient, il sera libre. S'il échoue, Rumplestiltskin tuera l'un après l'autre les proches du bon docteur jusqu'à ce qu'il accepte de se suicider... " Il n'y a donc aucune minute à perdre, docteur ! "
Le jour où il reçoit cette mystérieuse lettre de menace, l'existence jusqu'alors si prévisible du docteur Starcks bascule dans le chaos. Ce psychanalyste renommé se trouve subitement entraîné dans un jeu morbide conçu par un homme se faisant appeler Rumplestiltskin. Les règles en sont simples : Starks dispose de deux semaines pour identifier son maître chanteur et les raisons de sa colère. S'il y parvient, il sera libre. S'il échoue, Rumplestiltskin tuera l'un après l'autre les proches du bon docteur jusqu'à ce qu'il accepte de se suicider... " Il n'y a donc aucune minute à perdre, docteur ! "
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