- EAN13
- 9782258048577
- ISBN
- 978-2-258-04857-7
- Éditeur
- Les Presses de la Cité
- Date de publication
- 27/08/1998
- Collection
- Terres de France
- Nombre de pages
- 276
- Dimensions
- 22,6 x 14,3 x 2,6 cm
- Poids
- 375 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843.914
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Vendu par Librairie Lire et Chiner
- Description
- broché, couverture illustr; in-8, 270 pp
- État de l'exemplaire
- BE
8.00 (Occasion)
Au Grillon vert, les clients sont bien singuliers : allumeur de réverbères, peintre-distillateur... Tout ce monde rit, chahute, raconte sa vie. Un roman d'Auvergne et de partout dans l'univers merveilleux de Jean Anglade.
Fontgiève, " le petit Cayenne ", un quartier populaire de Clermont-Ferrand comme il en existait, entre les deux guerres, dans toutes les villes de France. Quartier plutôt chaud, si l'on en juge par Monsieur Maxime et ses filles " vénéricultrices ". Au milieu du site, le Grillon vert, hôtel-restaurant-comptoir. On prend des pensionnaires. On loge à pied, à cheval et en voiture. Des clients singuliers : Pouett-Pouett, le chauffeur du camion Fiat ; monsieur Carré, retraité de l'état civil ; monsieur Conchon-Quinette, industriel en confection ; Jean Desvignes, qu'on dit fou comme une chèvre ; Amandine, institutrice chauve ; monsieur Aussoleil, allumeur de réverbères ; monsieur Hébrard, professeur d'anglais, qui a épousé une Ecossaise pour avoir un dictionnaire jusque dans son lit ; l'abbé Fourvel, curé de Saint-Eutrope ; Mario Pérouse, peintre et distillateur. Tout ce monde rit, chahute, tape la manille, commente les Saintes Ecritures. Cependant que Marcel, peintre talentueux, fils du propriétaire, se persuade qu'il est la réincarnation d'un autre artiste, mort le jour où lui-même naissait.
Fontgiève, " le petit Cayenne ", un quartier populaire de Clermont-Ferrand comme il en existait, entre les deux guerres, dans toutes les villes de France. Quartier plutôt chaud, si l'on en juge par Monsieur Maxime et ses filles " vénéricultrices ". Au milieu du site, le Grillon vert, hôtel-restaurant-comptoir. On prend des pensionnaires. On loge à pied, à cheval et en voiture. Des clients singuliers : Pouett-Pouett, le chauffeur du camion Fiat ; monsieur Carré, retraité de l'état civil ; monsieur Conchon-Quinette, industriel en confection ; Jean Desvignes, qu'on dit fou comme une chèvre ; Amandine, institutrice chauve ; monsieur Aussoleil, allumeur de réverbères ; monsieur Hébrard, professeur d'anglais, qui a épousé une Ecossaise pour avoir un dictionnaire jusque dans son lit ; l'abbé Fourvel, curé de Saint-Eutrope ; Mario Pérouse, peintre et distillateur. Tout ce monde rit, chahute, tape la manille, commente les Saintes Ecritures. Cependant que Marcel, peintre talentueux, fils du propriétaire, se persuade qu'il est la réincarnation d'un autre artiste, mort le jour où lui-même naissait.
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