- EAN13
- 9782070522897
- ISBN
- 978-2-07-052289-7
- Éditeur
- Folio Junior
- Date de publication
- 03/2000
- Collection
- Folio Junior (FJU 000284)
- Nombre de pages
- 252
- Dimensions
- 17,8 x 12,5 x 1,1 cm
- Poids
- 146 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 804
Fantasia chez les ploucs
De Charles Williams
Illustrations de Tardi
Traduit par Marcel Duhamel
Folio Junior
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Livre de bibliothèque, tampons présents - Folio Junior - 1999 - 9782070522897 - Grand Format
1.83 (Occasion)
Ah ! ça, pour un été, c'était un fameux été ! Comme dit Pop (Pop, c'est papa), les fermes, c'est fortifiant, et pour ce qui est d'en trouver une plus fortifiante que celle à mon oncle Sagamore, on peut chercher. Il y avait un lac où on pouvait attraper des poissons vivants, j'avais un chien, et puis il y avait les chasseurs de lapins avec leurs mitraillettes, et aussi Miss Harrington. Miss Harrington ? C'est elle qu'avait le liseron qu'a été la cause de tout ce raffut. Vous savez bien ! C'est passé dans tous les journaux...
«Ah ! ça, pour un été, c'était un fameux été ! Comme dit Pop (Pop, c'est papa), les fermes, c’est fortifiant, et pour ce qui est d'en trouver une plus fortifiante que celle à mon oncle Sagamore, on peut chercher. Il y avait un lac où on pouvait attraper des poissons vivants, j'avais un chien, et puis il y avait tous les chasseurs de lapins avec leurs mitraillettes, et aussi miss Harrington. Elle était rudement gentille et c'est elle qui m'a appris à nager. C'est elle aussi qu'avait le liseron qu'a été la cause de tout ce raffut. Vous savez bien ! C'est passé dans tous les journaux…»
«Ah ! ça, pour un été, c'était un fameux été ! Comme dit Pop (Pop, c'est papa), les fermes, c’est fortifiant, et pour ce qui est d'en trouver une plus fortifiante que celle à mon oncle Sagamore, on peut chercher. Il y avait un lac où on pouvait attraper des poissons vivants, j'avais un chien, et puis il y avait tous les chasseurs de lapins avec leurs mitraillettes, et aussi miss Harrington. Elle était rudement gentille et c'est elle qui m'a appris à nager. C'est elle aussi qu'avait le liseron qu'a été la cause de tout ce raffut. Vous savez bien ! C'est passé dans tous les journaux…»
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