- EAN13
- 9782213682082
- ISBN
- 978-2-213-68208-2
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 19/11/2014
- Collection
- Divers Histoire (10)
- Séries
- Correspondance générale / Napoléon Bonaparte (10)
- Nombre de pages
- 1600
- Dimensions
- 24,3 x 15,6 x 6 cm
- Poids
- 1850 g
- Langue
- français
10 - Correspondance générale - Tome 10
Un Grand Empire, mars 1810-mars 1811
De Fondation Napoléon
Fayard
Divers Histoire
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Dans les 3006 lettres qui couvrent l'année 1810, la première des affaires importantes est sans nul doute le mariage autrichien. Napoléon avait tout d'abord hésité à entrer dans la famille des Habsbourg mais une fois décidé, il ne sait cacher son impatience et attend fébrilement l'arrivée de sa jeune épouse. Les premiers contacts se révèlent très positifs. Napoléon est enchanté de "sa Louise" et s'empresse de le communiquer à François 1er, son plus ancien ennemi, devenu en l'occasion son très cher "frère et beau-père". Ce mariage lui promet de surcroît une descendance qui devient réalité un an plus tard, le 20 mars 1811.
Pourtant, ce mariage est gâché par l'absence de 13 cardinaux sur les 27 invités. En effet Pie VI, détenu à Savone, a non seulement excommunié Napoléon et a refusé de reconnaître la nullité de son premier mariage, mais il persiste à refuser l'investiture des prêtres et évêques nommés par l'Empereur.
Enfin, cette union modifie le système des alliances : la Turquie et la Russie n'y sont pas favorables, alors que l'Autriche est le nouvel allié. Napoléon renforce donc l'intensification du blocus continental en fermant le continent européen aux Anglais, et multiplie les annexions dont celle de la Hollande.
Pourtant, ce mariage est gâché par l'absence de 13 cardinaux sur les 27 invités. En effet Pie VI, détenu à Savone, a non seulement excommunié Napoléon et a refusé de reconnaître la nullité de son premier mariage, mais il persiste à refuser l'investiture des prêtres et évêques nommés par l'Empereur.
Enfin, cette union modifie le système des alliances : la Turquie et la Russie n'y sont pas favorables, alors que l'Autriche est le nouvel allié. Napoléon renforce donc l'intensification du blocus continental en fermant le continent européen aux Anglais, et multiplie les annexions dont celle de la Hollande.
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