Les marins écrivent à l'encre salée / récits, nouvelles, contes, poésies, causeries, essais, Réalités et imaginaire des gens de la mer
EAN13
9782842658403
ISBN
978-2-84265-840-3
Éditeur
Découvrance
Date de publication
Nombre de pages
139
Dimensions
21 x 15 cm
Poids
130 g
Langue
français

Les marins écrivent à l'encre salée / récits, nouvelles, contes, poésies, causeries, essais

Réalités et imaginaire des gens de la mer

Découvrance

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  • Vendu par Démons et merveilles
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    French édition - Livre issu de déstockage qui présente des petites marques sur la couverture et/ou les pourtours mais reste en très bon état d'ensemble. Expédition soignée avec suivi postal dans une enveloppe à bulles depuis la France
    Format
    21x15x1cm. 2015. Broché. 150 pages.
    7.00 (Occasion)

Quelques récits écrits par des marins de tous horizons pour évoquer la mer et ses aventures...
Quelques stances résonneront comme des sonnailles océanes, les songeries de l'idéal féminin d'un marin au large et vous verrez Ouessant... De cette île vous appareillerez pour vivre un moment fort à bord du cargo Cetra Carina sur l'Orénoque. Vous irez taquiner la muse... et à nouveau vous descendrez la Seine pour rejoindre le large à bord du Tamarin et croiserez, sans doute, quelques marins d'escarbilles du côté de Cherbourg. Le capitaine Toul, fidèle consommateur de l'Islandais à Paimpol, délectera vos oreilles avec l'histoire du louveteau des mers et de son premier embarquement. Vous serez surpris par la vie de ces chiens bourlingueurs ! Évidement vous ne pourrez pas échapper à une fortune de mer, celle du cargo Maori, puis vous découvrirez l'épopée d'un capitaine dans la Grande Guerre. Vous vous posez des questions quant à la formation des marins, sur la puissance des nations maritimes au XIXe siècle vous aurez enfin quelques réponses.
Des pages maritimes sur la réalité et l'imaginaire des gens de la mer, pour tous les amoureux de l'eau salée !
EXTRAIT
Mer,
j'ai vagi mon dur lancement sur tes tempos de grand étale et respiré, d'entrée, au pied de mon ber maternel, ta cadence giclée, champagnisant d'accueil ma mise au flot de cette vie que vent venant de toi battait de brises en bravos.
Mer,
j'ai éclaté mes rires initiaux contre les clapots enrisés que la barcasse de papa valsait au large du reflux où s'essoufflaient tes élans d'ouest, et pris, du goupillon d'étrave en baptême de toi, des toute-volées d'embruns.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- « Des mots riches et des pages copieuses. Très chouette petit recueil qui va plaire et ravir pas mal de monde et ceux qui ont comme langage, la richesse des jolies phrases, car ces auteurs sont en verve et en veine, et que donc les bonnes pages fleurissent le long des pontons pour notre plus grand des plaisirs simples ! Un livre est en soi un voyage, alors levons les encres, hissons la plume et laissons-nous porter par les vents du grand large. » (Fleuves et canaux marines)
- « Les marins écrivent à l'encre salée est un savoureux pêle-mêle de récits, nouvelles, contes, poésies, causeries, essais. Y ont trempé leurs plumes : Olivier Bass, Jean Bulot, René de Cayeux, Jean-Marie Gilory, Jean-Paul Léger, Pierre Livory, René Moniot Beaumont, Jacques Shirmann et Jean-François Zapata. Ils ont tous navigués : qui a dit que les marins étaient des taiseux ? » (Le Marin, magazine)
- « Ils sont neuf marins écrivains à avoir pris la plume, sous la direction de René Moniot Beaumont, académicien des Arts et des Sciences de la mer. Une sirène vue en rêve, une ode à l'île de Sein, le naufrage du cargo Maori en 1971, le portrait de Capri ou de Julot, chiens d'équipage... Bref ou long, joyeux ou sombre, chaque fragment livre une part de sa passion pour cette étendue d'eau salée. » (Femme actuelle)
- « Les marins écrivent et de petites maisons d'édition se consacrent à cette littérature enchanteresse. Avec le recueil publié par La Découvrance Les marins écrivent à l'encre salée, qui s'ouvre par l'inoubliable L'homme et la mer de Baudelaire, on aborde des rivages autrement plus exotiques. Le miaulement du biniou n'est jamais loin de ces récits, contes et poèmes écrits par des marins de tous horizons. (...) On entend au fil des pages le tintement du vent dans les haubans, on se prend d'affection pour ces « chiens de mer » mascottes des équipages, on suit, haletant, le récit du naufrage du Maori, le 9 novembre 1971. Un petit grand livre à ne pas manquer ! » (Républicain lorrain)
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