- EAN13
- 9782221070888
- ISBN
- 978-2-221-07088-8
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 12/09/1999
- Collection
- Cinq citadelles de sable. (1)
- Séries
- Cinq citadelles de sable. (1)
- Nombre de pages
- 263
- Dimensions
- 21,5 x 13,8 x 2,4 cm
- Poids
- 370 g
- Langue
- français
1 - Mylenya ou la maison du silence - tome 1
roman
De Alain Gerber
Robert Laffont
Cinq citadelles de sable.
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Livre de bibliothèque, tampons présents - Laffont GF - 1991 - 9782221070888 - Grand Format
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Quelque part , dans la campagne d'une Europe Orientale en partie imaginée. Deux frères, Anton, huit ans, et Kosma, vingt-trois ans. Puis un beau jour, au bout du chemin, une petite valise de métal étincelant à la maoin, Mylenya, qui va partager la vie de l'aîné. Une vision qui éblouit Anton.
Mylenya a reconnu, en Anton, un être sensible et différent. Elle lui fera ce cadeau merveilleux : sa visite, un jour, à la maison du silence, un pavillon de chase isolé qui est la retraite favorite du jeune garçon. Mais Kosma surgira et, avec lui, le drame : affreux, sanglant, sordide.
Anton n'oubliera jamais. Cette scène s'enracine en lui, telle une inguérissable blessure. Elle est aussi le choc qui met en mouvement une existence jusqu'ici immobile et rêveuse. Des tumultes de la grande ville aux rigueurs de la vie militaire, balloté entre les siens, les rencontres de hasard et la nostalgie d'un amour de toute pureté, Anton va d'aventures en désespoirs, au gré d'une dérive mouvementée, haute en couleurs, dont le roman épouse le sillage.
Avec cette verve, ce lyrisme familier, ce bonheur singulier à conter et à émouvoir qui est la marque d'un Alain Gerber, aujourd'hui, au faîte de sa maitrise.
Mylenya a reconnu, en Anton, un être sensible et différent. Elle lui fera ce cadeau merveilleux : sa visite, un jour, à la maison du silence, un pavillon de chase isolé qui est la retraite favorite du jeune garçon. Mais Kosma surgira et, avec lui, le drame : affreux, sanglant, sordide.
Anton n'oubliera jamais. Cette scène s'enracine en lui, telle une inguérissable blessure. Elle est aussi le choc qui met en mouvement une existence jusqu'ici immobile et rêveuse. Des tumultes de la grande ville aux rigueurs de la vie militaire, balloté entre les siens, les rencontres de hasard et la nostalgie d'un amour de toute pureté, Anton va d'aventures en désespoirs, au gré d'une dérive mouvementée, haute en couleurs, dont le roman épouse le sillage.
Avec cette verve, ce lyrisme familier, ce bonheur singulier à conter et à émouvoir qui est la marque d'un Alain Gerber, aujourd'hui, au faîte de sa maitrise.
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