Interprétation de l'amour par Kierkegaard à l'épreuve de la physique quantique

« Dans l’une des armoires d’archives de la cave de l’Institut Niels Bohr se trouve une enveloppe sur laquelle est noté “Confidentiel”, contenant un document intitulé Le Paradoxe Pinocchio. Il en ressort qu’il a été possible de téléporter une personne anonyme en dissolvant ses restes terrestres dans des données quantiques et en les recréant à l’identique en un autre lieu, dans un autre temps. »

Une nuit de septembre, il n’y a pas si longtemps, une créature aux allures de chauve-souris surgit dans le ciel au-dessus de Copenhague : le philosophe Søren Kierkegaard, auteur du Journal d’un séducteur. À la recherche de lui-même, il rencontre Emma, physicienne quantique. C’est elle qui va lui expliquer ce qu’est l’amour et, pour cela, elle n’hésitera pas à lui faire rencontrer Keiko, au potentiel érotique exceptionnel…

L’Interprétation de l’amour par Kierkegaard à l’épreuve de la physique quantique, roman brillant, érotique et déroutant, vous apprendra tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Søren Kierkegaard sans jamais oser le demander. Léger et irrévérencieux, cet ovni littéraire aux allures de conte fantastique soulève avec humour la chape de plomb qui pèse sur le philosophe, et donne envie de le (re)lire.

« Peut-être l’univers n’est-il qu’une vue de l’esprit, un hologramme gigantesque qui fourmille de détails. Peut-être existons-nous uniquement parce que nous pouvons être vus et pensés… — Parce que quelqu’un nous invente ? chuchota Søren, les lèvres livides. — Hum, sourit Emma. Mais je suis là, moi, et toi aussi tu es là. On se déshabille ? »

Toujours à la recherche de voix originales, Galaade propose de faire découvrir en France, par le biais de L’Interprétation de l’amour par Kierkegaard à l’épreuve de la physique quantique, un conte littéraire qui constitue une entrée en matière distrayante et iconoclaste de la philosophie de Søren Kierkegaard, avec la gageure de soulever, en une centaine de pages, la chape de plomb qui pèse sur ce philosophe et de donner envie de le (re)lire.