- EAN13
- 9782262011598
- ISBN
- 978-2-262-01159-8
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 1996
- Nombre de pages
- 285
- Dimensions
- 23 x 14 x 2,4 cm
- Poids
- 396 g
- Langue
- français
L'honneur perdu de Marie de Morell l'affaire La Roncière, 1834-1835
l'affaire La Roncière, 1834-1835
De Pierre CORNUT-GENTILLE
Perrin
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Vendu par Librairie Créalivres
- État de l'exemplaire
- Bon état rousseur sur tranche et dans les plats intérieurs bonne tenue intérieur propre
- Format
- 14x22x3cm. 1996. Broché. 285 pages. illustrations en noir et blanc
5.00 (Occasion)
Une affaire ténébreuse et rocambolesque admirablement racontée par Pierre Cornut-Gentille, avocat au barreau de Paris.
Le 29 juin 1835 comparaît devant la cour d'assisses de Paris un lieutenant de trente et un ans à la triste réputation, Emile de La Roncière. Il est accusé de tentative de viol et de coups et blessures sur une jeune personne de seize ans, Marie de Morell. Si cette audacieuse met en transe le Tout-Paris, c'est que chacun des deux jeunes gens a pour père un général de haute renommée, appartenant à la noblesse et lié aux milieux gouvernementaux. C'est aussi parce qu'ils sont défendus par trois des plus grands avocats du siècle : Berryer, Barrot et Chaix d'Est-Ange. C'est surtout en raison des circonstances inouïes qui ont amené La Roncière devant ses juges. C'est à Saumur, où le général de Morell, alors que la vie de province déploie ses pauvres fastes et son vertigineux ennui sur les bords de Loire. Puis survient, nuitamment, ce qui apparaîtra comme une tentative de viol sur la personne de la ravissante Marie, incarnation de l'innocence outragée. Tout, dans ces odieuses transgressions de l'ordre et de la morale, accable le lieutenant de La Roncière. N'a-t-il pas des dettes, des maîtresses et mauvais caractère ? A y regarder de plus près, à observer notamment l'écriture des lettres anonymes, il n'est pas sûr que les Morell soient au-dessus de tout soupçon, et en particulier Marie...
Cette affaire ténébreuse et rocambolesque, ce scandale monumentale, le procès et le verdict discutables qui tentèrent de clore sont fidèlement et admirablement racontés par Pierre Cornut-Gentille, avocat au barreau de Paris.
Le 29 juin 1835 comparaît devant la cour d'assisses de Paris un lieutenant de trente et un ans à la triste réputation, Emile de La Roncière. Il est accusé de tentative de viol et de coups et blessures sur une jeune personne de seize ans, Marie de Morell. Si cette audacieuse met en transe le Tout-Paris, c'est que chacun des deux jeunes gens a pour père un général de haute renommée, appartenant à la noblesse et lié aux milieux gouvernementaux. C'est aussi parce qu'ils sont défendus par trois des plus grands avocats du siècle : Berryer, Barrot et Chaix d'Est-Ange. C'est surtout en raison des circonstances inouïes qui ont amené La Roncière devant ses juges. C'est à Saumur, où le général de Morell, alors que la vie de province déploie ses pauvres fastes et son vertigineux ennui sur les bords de Loire. Puis survient, nuitamment, ce qui apparaîtra comme une tentative de viol sur la personne de la ravissante Marie, incarnation de l'innocence outragée. Tout, dans ces odieuses transgressions de l'ordre et de la morale, accable le lieutenant de La Roncière. N'a-t-il pas des dettes, des maîtresses et mauvais caractère ? A y regarder de plus près, à observer notamment l'écriture des lettres anonymes, il n'est pas sûr que les Morell soient au-dessus de tout soupçon, et en particulier Marie...
Cette affaire ténébreuse et rocambolesque, ce scandale monumentale, le procès et le verdict discutables qui tentèrent de clore sont fidèlement et admirablement racontés par Pierre Cornut-Gentille, avocat au barreau de Paris.
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