EAN13
9782070112616
ISBN
978-2-07-011261-6
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Bibliothèque de la Pléiade (400)
Nombre de pages
1840
Dimensions
18 x 11,8 x 4,5 cm
Poids
683 g
Langue
français
Langue d'origine
castillan, espagnol
Code dewey
861
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  • Vendu par Librairie Paroles
    Description
    1ère édition du 1er volume en Pléiade (sur 2: 1993-1999) des oeuvres de Jorge Luis BORGES (1899-1986), établie, présentée et annotée par Jean Pierre BERNES: préface de l'auteur; traductions des "Obras completas" par Paul BENICHOU, Sylvia BENICHOU-ROUBAUD, Jean Pierre BERNES, Roger CAILLOIS, René L. F. DURAND, Laure GUILLE, Nestor IBARRA, Françoise ROSSET, Claire STAUB, Paul VERDEVOYE, Claude ESTEBAN; notes bibliographiques. A noter que la "réimpression" qui sera faite de ces fameux volumes comportera modifications, amendements, corrections et avertissements résultant de l'intervention d'un conciliateur dans le conflit qui opposait la veuve et légataire de l'écrivain, opposée à la réimpression, et l'éditeur Jean-Pierre Bernès. Bon exemplaire, bien complet de ses rhodoïd et étui
    État de l'exemplaire
    LXXXV + 1752p., 1 feuillet. Très bon état.
    Mots clefs
    Littérature latino-américaine ; Littérature 20è ; Collective (oeuvres complètes) ; Pléiade (collection)
    Taille
    10,5 x 16,8cm
    Nombre de volumes
    1 volume
    Reliure
    Reliure éditeur pleine peau souple sous rhodoïd et étui au 1er plat orné d'un petit portrait; tête orangée.
    Langue
    Français
    Lieu de publication
    [s.l., Paris]
    84.00 (Occasion)
«Je n'écris pas pour une minorité choisie, qui ne m'importe guère, ni pour cette entité platonique tellement adulée qu'on surnomme la Masse. Je ne crois à aucune de ces deux abstractions, chères au démagogue. J'écris pour moi, pour mes amis et pour atténuer le cours du temps.» Sans doute Borges considérait-il les lecteurs de la Pléiade comme des amis inconnus : il envisageait avec bonheur la perspective d'entrer dans cette «Bibliothèque». Non content d'autoriser cette édition, il a pris part à son élaboration jusqu'à l'extrême fin de sa vie : il a guidé le travail de traduction et d'annotation, en livrant avec générosité ses réflexions sur son œuvre, et en indiquant quels textes oubliés il acceptait que l'on exhumât pour l'occasion.
On parlerait volontiers d'édition définitive, si Borges n'avait écrit (dans sa préface à la traduction en vers espagnol du Cimetière marin de Valéry) que «l'idée de texte définitif ne relève que de la religion ou de la fatigue»...
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